Il fait chaud et on va tous crever

Ici on discute de thèmes environnementaux : écologie scientifique et/ou écologie politique, décroissance, etc.

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drÖne
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Re: Il fait chaud et on va tous crever

Message par drÖne »

http://sciences.blogs.liberation.fr/hom ... u-wri.html
Alors que les experts du GIEC ont entamé le processus d'écriture de leur prochain rapport complet (ARA-5, prévu pour 2014), le World Ressources Institute propose une compilation d'études publiées entre 2006 et 2008 dans des revues scientifiques.

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Il en ressort que les émissions de gaz à effet de serre continuent de croître et que les signes du changement climatique montrent une accentuation rapide. Voici quelques éléments marquant de ce rapport.

► les émissions de gaz carbonique se poursuivent depuis 2000 à un taux quatre fois supérieurs aux décennies précédentes.
► après une stabilisation restée un peu mystérieuse, les taux de méthane atmosphérique ont repris leur croissance.
► la température moyenne annuelle en 2008 en fait la 9ème (ou dixième) année la plus chaude depuis 150 ans, malgré des conditions froides dans l'océan Pacifique tropical et un soleil dont l'activité était au plus bas depuis que les observations par satellites ont commencé (1978).
► la banquise arctique a montré durant l'été 2008 une diminution de même ampleur que celle survenue en 2007. Une telle diminution de la surface de la banquise estivale n'était pas attendue avant 2030 par les modèles climatiques.
► plusieurs études régionales (Himalaya, Alpes) montrent une accélération de la fonte des glaciers de montagne. La calotte Groenlandaise à perdu 108 kilomètres cube de glace par an entre 2002 et 2005.
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Message par drÖne »

http://environnement.blogs.liberation.f ... C3%A9.html
"La fonte des glaciers du Groenland s'accélère."

DSC00037 Gordon Hamilton, glaciologue et professeur à l'Institut du changement climatique (ICC) de l'université du Maine, a embarqué sur l'Arctic Sunrise pour trois semaines d'expérimentations. Gordon est un habitué du Groenland: il a déjà constaté en 2005 l'accélération de cinq de ses plus gros glaciers (Helheim, Kangerdlugssuaq, Petermann, Humboldt, Jacobshavn). A eux cinq, ces mastodontes rejettent environ 30% de la calotte glaciaire du Groenland dans les océans. Avec sa collègue Leigh Stearns, le glaciologue arpente les monticules de glace les plus stables pour y installer des balises GPS. Il profite de l'expédition de Greenpeace pour récupérer son matériel déposé il y a déjà trois mois (appareils photo à la mémoire pleine et valises GPS ayant envoyé leurs coordonnées toutes les cinq secondes). Interview depuis les sommets qui surplombent le glacier Kangerdlugssuaq, un géant qui déverse environ 6% de la plaque de glace du Groenland sur 6 kilomètres de large.

Quel est le rôle des glaciers de l'Arctique dans la machine climatique mondiale?
Principalement, ils influencent le niveau des mers et océans. Si l'ensemble de la glace qui recouvre l'île du Groenland venait à fondre, cela représenterait l'équivalent de 7 mètres d'élévation du niveau des eaux à la surface du globe. L'île est recouverte à 85% par de la glace. Cette masse d'eau gelée est lentement transportée par les glaciers avant d'être rejetée dans les fjords sous la forme d'icebergs. Ceux-ci dérivent lentement jusque dans les océans. Au contact d'eaux plus chaudes, ils fondent ce qui va provoquer une élévation du niveau des eaux.

Pourquoi sont-ils si importants?
Si les rejets d'icebergs s'accélèrent et s'intensifient, alors l'élévation du niveau des eaux va également s'accélérer. C'est exactement ce que l'on voit avec le Kangerdlugssuaq. Depuis 2004, il a triplé la vitesse à laquelle il rejette des icebergs. D'autres glaciers suivent le même comportement que le Kanger, comme le glacier Helheim ou le glacier Petermann sur la cote ouest de l'île, alors le niveau des océans va probablement augmenter plus que l'on croit, en tout cas.

Comment se comportent les glaciers groenlandais?
Ce qui nous a le plus surpris, c'est que sept des glaciers les plus gros de l'île ont accéléré leurs mouvements. Cela a commencé il y a cinq ans environ. Par exemple, le glacier Kangerdlugssuaq avançait de 5 km par an en 2003, mais en 2005, il a bondi de 14 km! C'est une accélération pour le moins impressionnante! D'autres accélèrent de la même façon, et au même rythme, ce qui nous amène à penser que ce sont les mêmes mécanismes qui conduisent à ces changements.

DSC00042L'élévation du niveau des eaux est-elle la seule conséquence de la fonte de la calotte groenlandaise?

C'est la plus évidente mais il y a beaucoup d'autres choses. Chaque déversement de glace est un rejet d'eau douce, solide et froide dans des eaux salées. La fonte des glaciers modifie les milieux, et surtout l'équilibre de la salinité des océans, spécialement dans l'océan Atlantique nord. Or, la partie de l'océan atlantique nord qui touche le Groenland est très importante. C'est là que l'on trouve la courroie océanique qui transporte la chaleur à travers toute la planète. Avec plus d'eau fraîche, la courroie risque de ralentir voire de se gripper, ce qui peut avoir des conséquences: moins de chaleur transportée des eaux subtropicales jusqu'en Europe. Cela peut très bien mener à un refroidissement global du climat européen. Je reconnais que c'est un effet guère évident du réchauffement global.

Comment le Giec a-t-il pris en compte le rôle des glaciers de l'Arctique?
Les scientifiques du Giec n'ont pas pris en compte le rôle des glaciers du Groenland, tout simplement parce que leur 4ème évaluation est sortie il y a plus de 18 mois et qu'il était impossible alors d'inclure les dernières données dont nous disposions. Les changements dynamiques comme l'accélération de l'avancée du glacier ou l'augmentation des températures océaniques, qui impactent aussi la fonte des glaciers, n'ont donc pas pu être pris en compte. C'est pourquoi les estimations du Giec -comme l'augmentation du niveau des océans de 30 à 60 cm d'ici à 2100- nous semblent sous-estimées. Politiquement, la façon dont on anticipe une élévation de 30 cm n'est pas du tout la même que lorsqu'il faut anticiper une élévation d'1 mètre ou plus.

Qu'est-ce qui est à l'origine de l'accélération des glaciers?
Nous ne savons pas vraiment. C'est bien pour cela que nous venons ici chaque été pour comprendre ce qui se passe. Ce que l'on sait, c'est qu'il y a un réchauffement de l'atmosphère, et que ce faisant, la glace en contact avec l'air ambiant fond plus vite, se transformant ensuite en eau qui forme des lacs ou s'infiltre dans les crevasses. Comme cette eau fraîche est plus dense, plus lourde, elle trouve sa voie jusqu'à la base du glacier. Elle joue alors le rôle d'un lubrifiant sur lequel le glacier va glisser encore plus vite. Par ailleurs, le glacier entre directement en contact avec l'océan. Or, ces dernières années, les océanographes ont constaté des changements importants dans les courants. Les plus chauds issus des eaux subtropicales parviennent désormais jusqu'ici. Donc, il se pourrait que les glaciers fondent également à partir de leur base. Fragilisé, le glacier rejette davantage d'icebergs. On a également constaté l'apparition de lacs de surface de plusieurs kilomètres de long. Ils ont la particularité de pouvoir se drainer en une seule journée. Or l'ajout de toute cette eau à la base des glaciers doit probablement les fragiliser. Ces lacs à la surface du Groenland changent d'un jour à l'autre. Or, cette eau va au pied du glacier et elle doit bien avoir un effet sur l'avancement des glaces. Tout cela fait partie des phénomènes que l'on étudie, on ne sait pas encore lequel domine, mais la totalité de ces phénomènes accélère le processus global.

Tout fout le camp?
Vous savez, la science parle d'elle même en ce moment et il est inutile d'être un spécialiste pour comprendre que la magnitude des changements en cours est énorme. Les changements sont tellement rapides, dans tous les domaines. Rien qu'au Groenland, la fonte des glaces de l'Arctique et du permafrost s'accélèrent. D'ailleurs, c'est assez frustrant de constater la rapidité de ces changements dans l'environnement pendant que les décideurs politiques se demandent encore comment agir le moins brutalement possible. Obsédés par leurs échéances électorales, ils semblent incapables de prendre les décisions à la hauteur des enjeux.

Recueilli par Laure Noualhat
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pH
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Message par pH »

Certains ont trouvé une parade pour rester au frais et ne rien entendre du danger qui les guettent.

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Message par drÖne »

http://www.bastamag.net/spip.php?article739
« La fonte de l’Arctique pourrait entraîner une reprise des glaciations en Europe »

Par Benoît Kubiak (16 novembre 2009)

Anne Chapuis est étudiante en glaciologie à l’université d’Aas en Norvège. Son travail ? Analyser la fonte des glaciers du Spitzberg, cet archipel norvégien situé non loin du Groenland. Quelles sont les conséquences de la fonte de ces glaciers ? Ce processus peut-il perturber le climat européen aujourd’hui tempéré ? Doit-on se préparer à un refroidissement du vieux continent ? Explication en images, et en pull de laines.

A quelques encablures des fjords norvégiens, une jeune universitaire française s’est passionnée pour la glace : celle des étendues blanches du Spitzberg, un archipel norvégien situé à la même latitude que le Groenland. Anne Chapuis prépare sa thèse sur la fonte des glaces en Arctique. Depuis près de deux ans, elle recueille des données sur le "vêlage d’icebergs" par le glacier : analyse des températures de l’eau et de l’air, estimation du volume du glacier, suivi de ses mouvements, étude de la modification de l’albédo (la capacité des glaciers ou d’un sol à réfléchir les rayons du soleil)... Deux fois par an, elle s’envole d’Oslo pour le glacier du Spitzberg, transbordant à chaque fois tente, traineau et appareils de mesure. Sur place, elle apprend à tirer pour se défendre contre les attaques d’ours blanc et à diriger les chiens de traineau.

Dans cette vidéo, Anne Chapuis présente son travail de glaciologue et les possibles impacts de la fonte des glaces arctiques sur notre climat tempéré. L’apport d’eau douce liée à la fonte des glaciers pourrait ainsi entrainer la perturbation, voire la disparition, du Gulf Stream, ce courant marin venu des Caraïbes qui réchauffe les côtes occidentales de l’Europe. On lui doit notre climat relativement tempéré comparé à d’autres latitudes. Paradoxe : le réchauffement climatique mondial pourrait donc avoir pour conséquence un refroidissement de l’Europe.

[dailymotion]xb0u8m_fonte-des-glaces-dans-larctique_news[/dailymotion]
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Re: Il fait chaud et on va tous crever

Message par BUNKER »

Il me semble que les données sont si claires qu'il est même trop tard pour réagir. Plutôt que de vouloir stopper le réchauffement climatique, préparons nous y : en enfouissant les cités sous terre, on peut faire baisser les degrés auxquels les hommes seront exposés de 3 à 5° en moyenne. Seul les plus faibles ou les moins rentables pourraient travailler à la surface, par exemple à nourrir les autres et le gouvernement installé dans les profondeurs.

Puis, une fois que les autres puissances se seront effondrées à vouloir lutter contre l'impossible, il suffira, moyennant une combinaison anti-radiation de reconquérir la surface de la terre qui se sera dépeuplée d'elle même.
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Re: Il fait chaud et on va tous crever

Message par drÖne »

Pas bête. Et une fois que ceux de la surface auront joué leur rôle productif, et qu'ils seront morts à cause des radiations, la noblesse souterraine pourrait les recycler en les utilisant comme carburant.
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Re: Il fait chaud et on va tous crever

Message par geronimo l'insoumis »

10 pages plus loin... ouf j'ai le cerveau vidé (faut dire qu'il ne reste plus grand chose avec l'évaporation de toute l'esu qu'il contient).
J'ai particulièrement aimé l'analyse du parcours de cet ex ministre de l'éducation nationale dont le passage a été si bref et si contesté qu'il en devient peu crédible.
Issus de fac de sciences, je connaissais déjà le personnage et sa réputation.
Le problème est qu'il commence à faire des adeptes. Si je regarde un peu autours de moi, je rencontre de plus en plus de personnes qui affirment haut et fort "c'est un scientifique quand même, il sait de quoi il parle". personnellement, je ne sais pas s'il a été scientifique un jour. Par contre, je peux affirmer qu'il est devenu un homme politique... beurk !
Il est horrible de constater que la France se scinde en deux, entre ceux qui sont persuadé qu'il a raison et du coup, qui justifient leur flegme de vouloir faire des efforts et l'autre partie qui, comme des cons vont essayer d'(inculquer l'urgence de changer à leurs enfants et leurs proches et la nécessité de trier, composter, recycler (bien que là-dessus aussi, il y a plein de choses "désagréables" à avouer) et essayer de trouver des solutions pour que la pourriture que leurs ainés ont semés sous leurs pieds ne les condamnent pas à une vie pire que la notre.
Bon, il y a des impératifs et quand quelqu'un vient prendre l'apéro à la maison, je me dois de laisser la room 101.
Par contre, ... je n'ai pas fini. J'ai été absent longtemps et il va donc me falloir plus de temps pour cracher tout le venin que j'ai accumulé!
A très bientôt
L'insoumission devrait être un principe de vie pour tous
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Message par drÖne »

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Message par drÖne »

Les climatologues du Giec s'invitent à nouveau au débat sur le contrôle des émissions de gaz à effet de serre (GES) en dévoilant avant les négociations de Durban les meilleures pages d'un rapport spécial sur « la gestion des risques d'événements extrêmes et des catastrophes pour progresser dans l'adaptation climatique » qui sera publié en février.

« Il est maintenant certain que les extrêmes de température augmentent et vont encore augmenter à l'échelle du globe en raison des activités humaines », a expliqué Thomas Stocker, coprésident du Giec, en présentant ce résumé explosif de 22 pages qui épluche plus de 18.000 articles scientifiques. « Avec au moins trois quarts d'informations nouvelles, cette compilation de données confirme les pires scénarios », commente le climatologue Jean Jouzel, membre du Giec.

Vagues plus fréquentes et sévères de sécheresse, pluies torrentielles, cyclones plus intenses, crues massives... D'ici à 2050, quelle que soit l'évolution des émissions de GES (qui croissent régulièrement de 3 % depuis le début du siècle), les épisodes de chaleur vont quadrupler et la fréquence des précipitations intenses va doubler. « Dans un monde saturé en gaz à effet de serre, affirme Thomas Stocker, il est même probable que la fréquence des jours de canicule sera décuplée dans la plupart des régions du monde. » Les pics de température rencontrés actuellement tous les vingt ans se produiront alors tous les cinq ans d'ici à 2050, et tous les un ou deux ans vers la fin du siècle. Les pics de précipitations suivront la même tendance.
http://www.lesechos.fr/economie-politiq ... 254855.php

« Les phénomènes climatiques extrêmes vont avoir un impact plus grand sur les secteurs liés au climat, comme l'agriculture, la sécurité alimentaire, la forêt et son exploitation, la santé et le tourisme », poursuivent les experts, rappelant le montant prohibitif de ces événements, comme l'ouragan Katrina, qui a coûté 200 milliards de dollars aux compagnies d'assurances en 2005. S'il établit que les pertes économiques sont plus lourdes dans les pays développés, le Giec rappelle aussi que les pays en voie de développement sont les plus vulnérables aux effets des changements climatiques. « Entre 1970 et 2008, plus de 95 % des décès liés aux catastrophes naturelles ont eu lieu dans les pays les plus vulnérables », indiquent les experts, qui recommandent aux gouvernements de prévenir les problèmes à venir en appuyant la création de structures de solidarité. « Certaines régions vont devenir inhospitalières », préviennent les scientifiques, qui anticipent des migrations massives.

« Ce rapport ne devrait laisser aucun doute aux gouvernements sur la perspective de dommages considérables portée par le réchauffement climatique à nos économies », souligne Jean Jouzel. A défaut d'initiatives gouvernementales décisives, il faut s'attendre à un doublement des émissions mondiales de gaz à effet de serre pendant les quarante années à venir, selon les analyses de l'OCDE à paraître en mars. Les experts anticipent dans ce cas une hausse moyenne de 3 à 6 degrés de la température du globe d'ici à la fin du siècle, le triple des perspectives funestes imaginées par les chercheurs.
PAUL MOLGA
Dans peu de temps, on va entrer en période cyclonique à La Réunion, arrrgh ! Et on m'a dit que comme ça faisait quelques années qu'il n'y en a pas eu, il y a des chances que ça soit pour nous cette fois. Et comme je suis à l'Est, je serai en plein sur leur trajectoire. Si en plus le Giec a raison, ça risque d'être "chaud"...
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