tindin ?Qwess?, euuu c toi ki sent le cochon grillé comme sa ?
ce ke m'inspire ton dessin bah déja je suis une burne, critik, art toot ca okay, je tentez m^m pas de m'inviter à une conversion en traitant alors te marre pas stp

o pis si vazy va...:*Je n'ai d'autre alternative que de m'effondrer sur le sol, pris d'un rire hystérique*:
Attention, mini roulement de tambour...rayayaaï j'aurais pas du te lire, maintenant voila ta corrompue ma chtite pensée...
bon sinon déja leo l'aime bien, y finis pas toot entre autres et sa j'adore...j'ai bien tenté de créer la perfection, le rond à la main, tu vois ? n'y arrive po, lé ovale ou liquide mon machin...
Bon reprenons l'étude attentive entrecoupé de taf for délicieuse

de ton oeuvre j'aurais pu te suivre dans le sens donné à ton oeuvre, moi j'aurais scotché le nombril et je serais parvenus, à un seul fil celui de l'équilibre.
Moi je me place pas trop du côté esthétique, dans mes "oeuvres" et à vrai dire j'aime po ce mot...j'ai la facheuse tendance à le rapprocher au mot Zoli, ou bo ki pour moi n'évoque rien...l'art pour moi à ce sens principal celui de déranger, de mettre mal à l'aise, de partager sa révolte, ce n'est qu'un ustensile...
Heuu cependant je vois l'art partout, dans le travail de chacun, de l'artisan à la danseuse classique, la tour eiffel en allumettes sa me fait délirer et j'applaudis des deux mains, ce qui peut sembler imbécile...
heuu, remarque encore toote personnel, je lui aurais coupé la tête ou un bras...
merci à toi, femme à poigne

, de nous faire partager tes oeuvres.
heuu tjrs en passant, la chiken 2, on t'y vois ?, tu fais un peu de déco ? moi fot que je m'y mettes sérieusement, né trop envie de délirer.Pis charmante djette... comme tu aimes

, ta pas un chtit mix tap à balancer ozi ?
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAALllllllllllllllllllllllllllllllEEEEEEEEEeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeZ toot le monde à lo...
moi vé me la jouer gondolier et

couler le navire, staprèmsse parmi les zentils ratsgondins...
++
Our experiment has focused on the first preparation step of mesoporous zirconia.
couma sa :
art: chopé sur cyberphilo:
Du latin ars, «habileté», «savoir-faire», «méthode» (correspond au grec tekhnè, qui a donné «technique» en français).
Art; Kunst; Arte.
1. À l'origine, toute pratique qui met en ?uvre un savoir-faire, une technique.
2. À partir du XVIIIe siècle («beaux-arts»), toutes les activités humaines consacrées à la production du beau.
3. Plus généralement, tout ce qui est l'?uvre de l'homme (l'artificiel), par opposition aux créations de la nature (le naturel).
esthétique : tjrs sur cyberphilo
Du grec aisthètikos, «qui a la faculté de sentir» ou «qui peut être perçu par les sens».
Aesthetics; Aesthetik; Estetica.
1. Adjectif : relatif au goût, au sentiment du beau (exemple : jugement esthétique).
2. Nom : science qui traite du beau et du sentiment que celui-ci fait naître en nous.
3. Au sens large, philosophie ou théorie de l'art.
déniché au hasard d'une balade...
"Pour qu'il y ait de l'art, pour qu'il y ait une action ou une contemplation esthétique quelconque, une condition physiologique préliminaire est indispensable : l'ivresse. Il faut d'abord que l'ivresse ait haussé l'irritabilité de toute la machine : autrement l'art est impossible. Toutes les espèces d'ivresses, fussent-elles conditionnées le plus diversement possible, ont puissance d'art : avant tout l'ivresse de l'excitation sexuelle, cette forme de l'ivresse la plus ancienne et la plus primitive. De même l'ivresse qui accompagne tous les grands désirs, toutes les grandes émotions; l'ivresse de la fête, de la lutte, de l'acte de bravoure, de la victoire, de tous les mouvements extrêmes; l'ivresse de la cruauté; l'ivresse dans la destruction; l'ivresse sous certaines influences météorologiques, par exemple l'ivresse du printemps, ou bien sous l'influence des narcotiques; enfin l'ivresse de la volonté, l'ivresse d'une volonté accumulée et dilatée. ? L'essentiel dans l'ivresse, c'est le sentiment de la force accrue et de la plénitude. Sous l'empire de ce sentiment on s'abandonne aux choses, on les force à prendre de nous, on les violente, ? on appelle ce processus : idéaliser. Débarrassons-nous ici d'un préjugé : idéaliser ne consiste pas, comme on le croit généralement, en une déduction, et une soustraction de ce qui est petit et accessoire. Ce qu'il y a de décisif c'est, au contraire, une formidable érosion des traits principaux, en sorte que les autres traits disparaissent.
Le Crépuscule des Idoles (1888), «Flâneries inactuelles», § 8,
Traduction de Henri Albert (Société du Mercure de France, 1899)" et c'est de l'otre sur son canape [/img]