Que crachent tes enceintes pourries ?

[pH]

En ce qui concerne le Reggae c'est pas vraiment mon obsession mais j'ai gardé quelques Upsetters et j'ai des Marley&upsetters qui méritent toute notre attention d'amateurs d'origines des musiques electroniques et qui sont de pures merveilles de groove débile low-fi ou de trouvailles musicales… euh… uniques ?

[pH]

Il y a une intégrale qui est sortie !!! je VEUX ça !!! Tu crois que tu peux trouver ça sur le oueb ?

[drÖne]

Bah, j'ai bien trouvé l'intégrale de Bästard ! De toute manière, c'est pas chez Virgin qu'on trouvera ça...

[Ël Rapha]

POUR TOUF :
Je surveille justement étroitement ma boîte aux lettres
J'attends "I am a robot" depuis lundi maintenant plus tous ce qu il y avait en stock de bon de mémoire dirty money ep et attendu avec impatience aussi . HI hi
sinon mes enceintes
crachent des trucs joyeux gentiment postés par LM45 crêmerie que j'évite la plupart du temps parce que bonjour les ardoises après =)

UPR 03 et 06 le talium
DESTruction-03 rhoo 22h et les enfants ! unt ruc d atomhead qui flash des napalma vec des riffs de gratte gras et pi un peu de vivaldi c'est le printemps pour de vrai ici !


et sommeil fragile sur le no tek 20 toujours le morceau le plus vieilleur de nuit de la décennie .
et plein d'autres trucs du même genre
bref j ai pas la côte avec les voisins depuis hier

[drÖne]

http://cd1d.com/fr/album/kabul

u commencement était "Narcophony", une libre adaptation pour machines et cordes de "Spiral Insana" de Nurse with Wounds que nous avons publié en 2003. C'est à la suite de la découverte de cette première collaboration entre Eric Aldéa et Ivan Chiossone que l'écrivain et cinéaste Atiq Rahimi décide de confier au duo la composition de la bande originale de l'adaptation de son roman "Terre et cendres" qu'il réalise lui-même (prix du regard vers l'avenir au Festival de Cannes 2004).
Les deux musiciens se rendent à Kaboul pour 2 semaines en septembre 2003 et y enregistrent solos instrumentaux, chants traditionnels, un ensemble soufi … des sonorités rarement entendues ici et là-bas pendant les années d'obscurantisme qu'a connu le pays.
Riches de ces rencontres humaines et musicales, ils rapportent avec eux une "banque sonore" qui sera la matière première de leur travail de composition.
De retour à Lyon, ils s'entourent du chanteur afghan Massoud Raonak, de Pierre Citron (flute), Franck Laurino (ex Bästard, percussions), Hasmig Fau (violoncelle) et François Cuilleron (ex Bästard, violon) et amalgament ces témoignages à leur propres instruments.
Musique trop originale, trop d'emprise du son sur les images, collision d'egos ? Atiq Rahimi ne donnera pas d'explications mais des heures de bandes proposées, il ne gardera finalement qu'une pièce, "Friend / enemy", comme générique de fin de son film.
Persuadé pour notre part de l'intérêt de cette rencontre inédite entre création contemporaine et voix et instruments traditionnels afghans, aussi bien que de la beauté ténébreuse de la musique qui en résulte, nous avons décidé de proposer avec "Kabul" une sélection de ces compositions au public.

Cet album est effectivement excellent, mystérieux à souhaits, ambient acoustique, oriental et sombre comme une ville sous les bombes.

Sinon, l'album de reprises des Residents aux ondes Martenot est lui aussi très bien :

Narcophony n’a pas fini de visiter les maisons hantées par la mémoire des musiciens les plus effrénés de ces trente dernières années. Après Nurse With Wound, ils se collent à l’oeuvre hallucinogène du plus phénoménal des pop combo de San Francisco : The Residents.

Fort d’un effectif stabilisé autour du duo Eric Aldéa / Ivan Chiossone avec Christine Ott (collaborations avec Radiohead, Yann Tiersen ... - Ondes Martenot), François Cuilleron (ex Bästard – guitares et violons) et Hasmig Fau (violoncelle), Narcophony passe au rouleau recycleur 13 morceaux de la première heure des Residents (de 1974 à 1985), avec la même énergie débridée qui caractérisait le groupe avant-gardiste.

Gagné par le ludisme qui habitait les contemporains de Kraftwerk, le groupe joue la carte du passage renversant de l’analogique à l’acoustique. Réservant la plupart des thèmes aux atemporelles Ondes Martenot (ancêtre de l’électronique), le groupe reprend les instrumentations mutines par des envolées de cordes et autres intrusions d’instruments rares. Un coup de maître incongru qui intensifie la période la plus riche des Residents.
Du mystique "Festival of Death" aux fugaces aventures de "Vileness Fats", "Narcophony play The Residents" opère un détournement de haute-voltige. Il s’empare du très condensé "Commercial Album" (1980), pour mieux en disséquer les tubes pop exacerbés d’une minute chacun, et entre au panthéon des chansons les plus tristes de la terre avec le morceau fétiche "Hello Skinny".
Revisiter l’histoire de la musique américaine à travers une série était l’un des ambitieux projets des Residents arrêté en cours de route. Narcophony le ressort du haut-de-forme avec "Jambalaya" de Hank Williams, et lui fait subir une glissade acrobatique improbable.
Autre projet avorté redoré par le blason de Narcophony: le fougueux "Whatever happened to Vileness Fats", BO incandescente d’un long-métrage en suspend, qui trouve ici un aboutissement inespéré.
Comme les Residents l’avaient fait avec les Beatles sur leur premier album "Meet the Residents" (1974), Narcophony joue en virtuose avec la matière première et poursuit une histoire prégnante de rebondissements, avec la même effervescence que leurs aînés du far west.

Et pour pH, l'album Recollation de Deity guns est facile à chopper sur slsk, et s'écoute en effet comme du Bästard. Bref, il fut un temps où ça vibrait bien à Lyon... avant que j'y arrive visiblement.

[pH]

J'ai écouté du Deity Guns toute la journée sur… Music Me…
Sur soulseek, si Recollection est disponible… je prends.
Dans la foulée je me suis passé le disque de bastard que tu m'avais passé… et je prendrais bien aussi l'intégrale bastard… Ce disque est énorme
Et j'apprend que zero est le groupe actuel d'aldea… en connaissant un peu ce groupe depuis pas mal d'années…
Enfin Lyon ne fut pas qu'une capitale de l'ennui…
J'achèterai sans doute recollection s'ils veulent bien les chèques chez CD1D… ce groupe était phénoménal.


Tout de suite :

Bar Kokhba Sextet - Lucifer
[/video]

[Ël Rapha]

Ha bha moi je suis plutôt dans une fin de nuit pop
M6 live mon cul sur la télé et d'un coup un truc qui sort du lot et pff

Enocre Les reds qui déchirent la pop ...Classique .

Donc Raph mode poppies :

[/video]

sur scène

[/video]

Une reprise de Madness
[/video]

leur album "it was this or football"


tiens je me casserais bien boire des pintes dans les brumes de Soho

[Ël Rapha]

Et encore y a 6 parties

[/video]

[Ël Rapha]

'tain faut qee j'achète du gel
[/video]

[drÖne]

Dans le même style, ou pas très éloigné, j'écoutais les Specials au lycée. Depuis ça m'a passé.

[/video]

[/video]