juko a écrit :Mais c'est quoi ta première rencontre avec B52?
moi aussi ça tournait à l'époque.
Il parait que que les membres du groupe bossaient comme serveurs, et se faisaient chier le weekend, ils ont fait un groupe sans se prendre au sérieux, et zou, succes interplanétaire;
Moraité
Faut que je vende des frites
arrete faut que je bosse, putain j'ai UN COURS A PREPARER !!
meuh non tu vas pas bosser
alors laissez moi TOUT vous raconter sur mes 16-17 ans à moi
Il était une fois..
bon allez je serai miséricordieux, au boulot!
(et le DVD de mortagne hm?
je lui fais refaire. je veux qu'il supprime le film d'un bOeuf chez moi.
Je te l'envoie tel que dès que j'ai un moment.
Pour nous c'est sympa, on voit même Touf !
ah il a mélangé pleins de moments différents;
J'ai cru comprendre qu'il n'avait qu'un petit extrait sur mon live, alors que j'avais cru qu'il y en avait plus.
@ voir alors!
juko a écrit :ah il a mélangé pleins de moments différents;
J'ai cru comprendre qu'il n'avait qu'un petit extrait sur mon live, alors que j'avais cru qu'il y en avait plus.
@ voir alors!
Il y a un court moment... en playback... mais c'est pas mal.
Si tu comptait là dessus pour décrocher un contrat chez Virgin, va falloir refaire, c'est sûr…
Un autre (presque) vieux qui débarque... et qui a du mal avec ses souvenirs. Comment trier, franchement ? Bon, côté rock, après une période où j'écoutais un peu n'importe quoi en suivant ce que les potes écoutaient (Neil Young, du hard rock, Higelin, etc.), je me souviens être resté scotché vers 15/16 ans sur... une émission de TV qui passait des lives de DAF, de Siouxsie et de Killing Joke. Ça devait être vers 1981, en même temps que je prenais des cours de batterie jazz avec un fan de Magma qui me faisait découvrir le prog, le jazz rock et le free jazz.
Donc, un certain Eudeline présentait Killing Joke, et je suis resté scotché. Scotché également sur le pas de l'oie du chanteur de DAF... Ce truc froid et méchant, sans concession, qui te disait "merde, je te pisse à la raie et je t'aime pas", j'ai adoré immédiatement. Surtout aussi l'absence revendiquée de "feeling", ce concept mou pour baba mystico-gnangnan. Moi j'aimais pas les sentiments... ni les gens. Donc, le punk c'est devenu mon truc, même si j'ai gardé les cheveux longs jusqu'à la fac, où la rencontre avec une punkette avec qui j'ai vécu m'a fait pousser une crête colorée et opter pour les rangers : j'étais déjà préparé culturellement, manquait que le déclic.
Bon, en même temps je disais que c'était flou, parce que je me souviens aussi avoir rapporté ma première K7 de Killing Joke d'un voyage en stop en Irlande, à 16 ans, donc ça semble antérieur à l'époque du bac, mais peu importe. J'écoutais aussi Nina Hagen au bahut, et ceci dit, comme c'était un très grand lycée, j'avais quelques interlocuteurs (et interlocutrices) qui me traduisaient les textes de Nina Hagen, ou qui passaient de Neil Young aux Pistols...
Ensuite, la fac, la drogue, le bordel, le redoublement, tout ça c'est la faute du punk, pfff...
...Tant mieux !
[/video]
[/video]
L'émission avec KJ, c'était peut-être celle là. Comme quoi, la TV française n'a pas toujours donné de la merde à bouffer à ses téléspectateurs :
[/video]
drÖne d'où, chose remarquable, rien ne s'ensuit...
DAF, pour moi, c'est toute une histoire !
Ma rencontre avec ce groupe fut houleuse… j'avais l'impression (sans traducteurs) qu'il s'agissait d'un truc de facho. Le propriétaire du 33t en question étant mon pire ennemi, et un peu facho, je lui ai chourré son frisbee. Depuis il est chez moi. Dance fur Musolini est chez moi. J'ai compris qu'il s'agissait d'un truc new wave d'avant garde bien après. J'ai jamais vraiment accroché à Daf. Dire qu'on compare ça à Cab Voltaire… Sans doute la gueule du Faf qui me revient…
Et pourtant c'est pas mal, ça dégage une belle energie…
[/video]
[/video]
[/video]
Cette collaboration entre un fils d'émigrés espagnols à tendance punk (Gabi Delgado-Lopez - chant) et un pianiste classique attiré par Bartók (Robert Görl - batterie, électronique) aboutit à une musique new wave aux rythmes soutenus auxquels s'ajoutent des textes en allemand mi-chantés mi-parlés. Une musique dansante sans être pop, minimale sans être vide, cynique et puissante. Le duo est un des plus novateurs du début des années 80.
Bon, si je me suis réveillé si tôt c'est que j'ai encore oublié de vous demander, à toi et à juko, une vidéo d'une de vos perf en format sony full HD 5.1 pour mettre sur le dividi total à cran.
de plus à qui j'envoie celui que j'ai récupéré chez rezo ?