Pétition de soutien : Pourquoi nous ne participerons pas aux jurys du Bac

Désobéissances et micro-résistances.

Modérateurs : drÖne, LLB

Avatar du membre
pH
Hikikomori !
Messages : 2336
Enregistré le : 12 juin 2006, 23:24
Contact :

Re: Pétition de soutien : Pourquoi nous ne participerons pas aux jurys du Bac

Message par pH »

moi non plus [mortderire.gif]
Avatar du membre
Ël Rapha
Hikikomori !
Messages : 2497
Enregistré le : 13 août 2009, 01:00

Re: Pétition de soutien : Pourquoi nous ne participerons pas aux jurys du Bac

Message par Ël Rapha »

:P
Avatar du membre
Otaku
Fioul Métal Jaquette
Messages : 318
Enregistré le : 03 nov. 2003, 17:32
Localisation : panam 91

Re: Pétition de soutien : Pourquoi nous ne participerons pas aux jurys du Bac

Message par Otaku »

J'ai entendu qu'ils aller utiliser le contrôle continu pour ceux qui n'auront pas les résultat du Bac à sable.
Ils trouvent toujours une parade, et si il n'y en pas ils la crée.
Je commence à croire que c'est vraiment le début de la fin pour tout.
Et surtout les gens sont pas solidaire dans ce pays de merde.
Comment on peux arriver à changer les choses.
Exacte musique !! [beuar.gif]
Avatar du membre
Otaku
Fioul Métal Jaquette
Messages : 318
Enregistré le : 03 nov. 2003, 17:32
Localisation : panam 91

Re: Pétition de soutien : Pourquoi nous ne participerons pas aux jurys du Bac

Message par Otaku »

Plus les années passent et plus je me dis qu'il va falloir s'isoler de tout ce merdier.
Exacte musique !! [beuar.gif]
Avatar du membre
drÖne
Présidictateur
Messages : 7766
Enregistré le : 05 oct. 2002, 22:35
Localisation : Présidictature de Drönésie Orientale
Contact :

Re: Pétition de soutien : Pourquoi nous ne participerons pas aux jurys du Bac

Message par drÖne »

J'ai vu l'info pour le bac, et le contrôle continu. Si au moins les parents d'élèves se montraient solidaires, ça changerait un peu les choses. Même chose à l'hôpital, ça va mal. D'ailleurs s'il y avait un endroit où ça allait bien, ça se saurait...
drÖne
d'où, chose remarquable, rien ne s'ensuit...
Avatar du membre
pH
Hikikomori !
Messages : 2336
Enregistré le : 12 juin 2006, 23:24
Contact :

Re: Pétition de soutien : Pourquoi nous ne participerons pas aux jurys du Bac

Message par pH »

à lire et à partager (même sur les rezo associaux) : pour les collègues courageux en lutte... 'tain même mi je ne pouvais pas en faire partie pour des raisons financières... je vais pas mettre en danger ma famille pour un mammouth à l'agonie. 't'façons on entre tous, à la rentrée, en micro résistance (enfin une bonne grosse minorité de profs munis d'un cerveau)

Bonjour,

La grève reconductible du Bac et des examens 2019 a démarré depuis plusieurs semaines ! Le bras de fer est engagé avec Blanquer pour la sauvegarde du service public d'éducation. Mais le ministre veut taper les collègues mobilisés au portefeuille et a menacé à plusieurs reprises de retirer jusqu'à la moitié d'un mois de salaire aux correcteurs du Bac pour... la seule journée de grève du 1er juillet (ou du 2 juillet selon les les académies) !
Face aux intimidations et aux remises en cause des règles les plus élémentaires du droit de grève, la solidarité, y compris financière, reste notre seule arme... Aidez-nous à tenir, faites un don à notre caisse de lutte nationale pour soutenir financièrement les grévistes :
https://www.lepotcommun.fr/pot/tdnghgr1

Les professeurs en lycée sont en lutte depuis des mois et demandent le retrait des réformes du Bac, du lycée et de la voie professionnelle et de Parcoursup.
Suite aux différentes mobilisations et grèves enseignantes qui ont pu se mener depuis décembre (notamment en soutien au départ au mouvement lycéen), plusieurs réunions de coordination nationale des collectifs en lutte contre les réformes Blanquer ont eu lieu. Lors de la dernière réunion, un appel à la grève des examens (BEP, Bac, Bac pro..) à partir du début du mois de juin a été lancé.
C'est pourquoi cette coordination nationale des collectifs en lutte contre les réformes Blanquer, connue sous le nom d'"inter-collectifs la chaîne des bahuts" a été signataire au côté d'une intersyndicale nationale très large et des stylos rouges de l'appel à la grève du Bac le 17 juin.

Le mouvement de grève des examens a commencé à être visible avec la grève de correction du BEP. Puis une grève nationale des surveillances du Bac a été pour la première fois massivement suivie le lundi 17 juin puis reconduite dès le 18 juin dans des établissements de nombreuses académies comme en Ile-de-France, à Toulouse, Lyon, Grenoble, Dijon, Aix-Marseille... Une grève historique puisque, même en 2003, il n'y avait pas eu d'appel national large à la grève. Seules des atteintes innombrables au droit de grève (embauche massive de vacataires pour remplacer les grévistes, ordres illégaux de réquisition des personnels transmis par la hiérarchie...) ont permis de tenir l'ensemble des épreuves dans des conditions bien souvent catastrophiques au mépris des droits des candidats.

Face au mutisme d'un ministre décidé à détruire le lycée public ainsi que la voie professionnelle et à mettre au pas l'ensemble d'une profession avec sa loi de" l'école" dite de "la confiance" qui voudrait notamment limiter notre liberté d'expression, les collègues ont bien souvent reconduit le mouvement après les surveillances : piquets de grève des corrections, grève reconductible entraînant une rétention des notes, grève du Brevet en collège...

Un véritable bras de fer s'est engagé avec le ministre depuis le 1er et le 2 juillet dates de fin de saisie des notes du Bac dans les différentes académies. En effet, suite à des AG de correcteurs dans les différentes disciplines (Philo, Histoire-géo, SES, Maths, Théâtre, Arts plastiques, théâtre...), de très nombreux correcteurs ont décidé, après avoir corrigé leurs copies, de se mettre en grève reconductible à partir de cette date et n'ont donc pas saisi leurs notes. Un événement réellement sans précédent qui a enfin attiré l'attention de l'ensemble des médias sur notre combat et sur la gravité de la situation dans le service public d'éducation qui nous amène à choisir ces formes d'action inédites. Il a aussi déclenché une série sans fin de menaces du ministre : sanctions disciplinaires, etc qui ont été très activement relayées à tous les niveaux de la hiérarchie (mails, messages, rappels de proviseurs puis d'inspecteurs...) pour mettre la pression sur les grévistes et les obliger à reprendre le travail, saisir les notes et ramener leurs copies... Bilan : plus de 126 000 copies retenues répertoriées le 2/07 et dans des académies comme Lyon où la mobilisation était moins forte qu'en région parisienne ou à Toulouse, dans 27% des jurys du Bac général ne pouvaient normalement pas se tenir faute de notes (chiffres du rectorat) !
A noter que ce même jour, des profs grévistes ont décidé de défiler dans plusieurs villes au côté des urgentistes et des personnels de la santé en grève face à la situation désastreuse de l'hôpital en manifestant ainsi leur solidarité et notre combat commun pour sauver les services publics.

Et jusqu'à ce jeudi 4 juillet jour de jury de délibération du Bac, malgré les intimidations, la grève a été reconduite, mettant le ministre dans une situation impossible, lui qui avait promis de nous faire plier en remettant en cause le droit de grève, savait maintenant que de très nombreux jurys ne pourraient pas siéger faute d'avoir toutes les notes des candidats. Il a donc eu une idée, lancée sur le plateau de BFM le 3 juillet : plutôt que négocier avec les grévistes... inventer les notes manquantes en saisissant des notes virtuelles correspondant aux résultats des élèves pendant l'année ! Étonnant par ailleurs pour un ministre qui dit faire face à un mouvement "ultra minoritaire" d'être ainsi contraint de prendre ce genre de mesures au plan national.
Blanquer pensait casser la grève, résultat : scandalisés par cette mascarade et par le mépris du ministre pour nos élèves, des collègues non grévistes jusque-là ont soit décidé de se mettre en grève ce jeudi 4 juillet pour les jurys et de nous rejoindre, soit refusé collectivement de siéger dans ces conditions ou de statuer sur les cas des élèves dont les notes n'étaient pas celles de leurs copies en ne suivant pas ainsi les consignes ministérielles... Des motions pour condamner l'attitude du ministre et soutenir les grévistes ont été très largement votés par les jurys, même ceux qui n'étaient pas touchés par les grèves.

Un exemple des conséquences de la politique de Blanquer dans cette grève en Ile-de-France : l'AG des correcteurs toutes disciplines confondues a réuni 340 enseignants le 25 juin, 420 le 2 juillet et... 620 le 4 juillet (venant de 206 lycées et collèges des académies de Paris, Créteil ou Versailles) ! Cette AG a d'aillleurs décidé de reconduire la grève demain vendredi 5/07 avec une nouvelle AG pour discuter des suites.
Et ce 4 juillet, suite à notre mouvement, la FCPE 75 appelle à la démission de Blanquer et des syndicats lycéens comme l'UNL (qui a lancé une pétition) ou le MNL soutiennent notre action. Par ailleurs, une "déclaration d'amour aux enseignant.e.s en grève, premiers remparts contre l'ignorance et l 'exclusion" a été lancée sous forme de pétition de soutien par le collectif "Parents pas confiants" a recueilli en quelques jours plus de 9700 signatures dont celles de plusieurs personnalités comme Bertrand Tavernier ou François Morel mais aussi des chercheurs, etc.

Mais aujourd'hui, après avoir souvent déjà mené plusieurs journées de grève de surveillances du Bac en juin mais aussi pendant l'année, la question financière commence à peser sur les correcteurs en grève reconductible depuis début juillet. pour tenir nous avons besoin de votre solidarité. Mais surtout, Blanquer a menacé à plusieurs reprises et encore hier, au mépris le plus total des règles du droit de grève, les collègues en grève le 1er juillet (ou le 2 juillet selon les académies) de leur retirer... jusqu'à 15 journées de salaires pour cette seule journée de grève ! Et malgré cette menace, totalement illégale, et pourtant répétée en boucle par notre hiérarchie depuis une semaine à tous les niveaux pour nous décourager de poursuivre notre mouvement, les collègues mobilisés ont tenu et la grève s'est même renforcée.

C'est pourquoi l'AG d'Ile-de-France des correcteurs du 2 juillet a décidé de lancer un appel aux collègues, aux parents d'élèves et au delà à l'ensemble de la population à manifester leur solidarité avec notre mouvement et à donner en urgence à la caisse nationale de lutte contre les réformes Blanquer et Parcoursup afin d'atteindre le plus rapidement possible une somme qui permettrait de redistribuer et de verser une solidarité financière correcte aux collègues en grève reconductible dans toutes les académies et de les aider ainsi à continuer leur combat.
Son montant a doublé en quelques jours, preuve du soutien à notre action, mais au vu du nombre de grévistes engagés dans le mouvement, nous avons plus que jamais besoin de votre solidarité pour atteindre nos objectifs.
Les dons des organisations syndicales ou des associations sont évidemment eux aussi plus que bienvenus.

🚩Les règles d'utilisation et de répartition des dons pour verser leur solidarité financière grévistes seront transparentes et surtout entièrement discutées et décidées en coordination nationale des collectifs et en Assemblée Générale par les grévistes eux-mêmes.
🚩Un bilan de l'utilisation des dons sera communiqué aux donateurs
🚩Les collègues concernés par cette solidarité financière seront bien évidemment toutes celles et tous ceux engagés, sur tout le territoire, dans des grèves reconductibles des examens 2019 (BEP, Bac, Bac pro, Brevet...) que ce soit pour les surveillances, les corrections, les jurys, les oraux ou les autres opérations des examens mais aussi les personnels mobilisés qui ont pu participer à des grèves reconductibles en lycée ou en collège cette année contre les réformes Blanquer et Parcoursup.
https://www.lepotcommun.fr/pot/tdnghgr1


"La Coordination Nationale des collectifs en lutte contre les réformes Blanquer et Parcoursup" avait en effet "décidé lors de sa première réunion" il y a plusieurs mois "de mettre en place une cagnotte en ligne afin de financer" dont l'un des objectifs affichés étaient dès le départ "le soutien aux grèves reconductibles des collègues en lutte contre les réformes Blanquer" pour favoriser le développement ses mobilisations. Maintenant qu'un mouvement de grève reconductible et coordonné nationalement est là et bien ancré, il est temps d'abonder rapidement la caisse de grève et de la partager largement à vos listes mails de contacts (de collègues, de bassin, syndicales, associatives...) et sur les réseaux sociaux, sites internets, etc.

Vous pouvez aussi intégrer systématiquement le lien vers la caisse de grève à vos mails ou publications sur les réseaux sociaux au sujet de la mobilisation en cours.



salutations militantes






Communiqué de presse

L’immense engouement pour la Déclaration d’amour aux enseignant.e.s en grève :

5000 signataires, venus de tous les horizons, et des témoignages de colère et de soutien !


Après 24 heures d’existence, la “Déclaration d’amour aux enseignant.e.s en grève” avait franchi hier la barre symbolique des 1000 signataires. Aujourd’hui, ce sont 5000 signataires qui se rassemblent pour faire leur


DÉCLARATION D’AMOUR AUX ENSEIGNANT.E.S EN GRÈVE,

PREMIERS REMPARTS CONTRE L’IGNORANCE ET L’EXCLUSION


https://www.mesopinions.com/petition/au ... ers/69197/


En une nuit, le nombre a quintuplé ! Cette déclaration d’amour suscite un véritable engouement à travers l’ensemble de la société. Parmi ses signataires, nous trouvons des personnalités telles que l’historienne Ludivine Bantigny, le chercheur Pascal Lederer, le chroniqueur François Morel, le cinéaste Bertrand Tavernier, l’illustratrice de jeunesse Anaïs Vaugelade. Parents ou non, l’école nous concerne toutes et tous, parce qu’elle fait société.


A travers ces 5000 signataires, c’est un véritable cri de colère et d’indignation qui s’exprime contre les réformes Blanquer, et souvent contre la politique gouvernementale dans son ensemble. Extraits :


“L’éducation est la clef du changement de société nécessaire à la survie de l’humanité.”

“S’en prendre aux enseignant.e.s comme le fait Blanquer, c’est s’en prendre aux enfants.”

“Quand nos dirigeants viendront vivre à la place de ceux qu’ils dirigent, tout ira mieux. Vivre sans fard, sans escorte, à la place d’un enseignant durant un trimestre, avec remise des bulletins de notes, alors nos dirigeants connaîtront le métier.”

“Je peux témoigner que les meilleur.e.s enseignant.e.s sont bien celles et ceux qui luttent pour la qualité du service fourni aux enfants et à leurs familles. Courage et opiniâtreté sont les meilleures preuves de votre volonté de faire de l’école publique le fleuron de l’éducation et de l’intégration sociale pour toutes les générations.”


“Je signe parce que je crois fondamental que dans une république dont la devise est “Liberté, Egalité, Fraternité”, le rôle de l’école puisse être majeur. Une école qui donne accès à une véritable culture doit être ouverte à tous les enfants, quelle que soit l’origine sociale. Elle doit assurer des diplômes nationaux pour répondre à la devise “Egalité”. Elle doit permettre à l’enseignant d’assurer sa mission de “passeur’, de “médiateur” entre l’élève et les savoirs. C'est à travers cette mission de l'enseignant que l'élève construit sa propre autonomie. Donc, en aucun cas, l'enseignant ne peut être un simple exécutant. A partir de sa propre personnalité engagée, l'élève construit la sienne.”

“Ne lâchons rien !”

“Parce que mes enfants sont priviligiés et que je pense à ceux qui ne le sont pas.”

“Parce que ma mère avait raison de prétendre que pour détruire une nation, il suffit de la priver d'instruction, et j'ajoute que c'est exactement ce à quoi s'applique ce nid de destructeurs qu'on veut nous vendre comme un gouvernement !!!!!”

“Ce gouvernement est ce qui est arrivé de pire à la France depuis Pétain.”



“Je signe cette pétition avec une énorme émotion ! Mes filles ont 19 et 24 ans et en études "supérieures" et je me sens encore énormément touchée par tous ces enseignant.e.s qui se battent !! merci ! merci ! Touchée énormément également par tous ces parent.e.s qui manifestent leur opinion ... tellement proche de la mienne ... une déclaration d'amour !! yes !”

“Se battre contre ce gouvernement valet du libéralisme ennemi des gens et du vivant.”

“Pour sauver l’éducation populaire face à l’école des classes.”

“Ce gouvernement opère un saccage en masse de toutes nos valeurs pour l'éducation, la santé, nos services publics de proximité, pour notre justice indépendante, tout ce qui fait la richesse de la France, il brade nos entreprises nationales comme ADP et bientôt le reste d'EDF, la SNCF, il brade aussi aux multinationales Alstom pour faire de plus en plus de chômeur et nous dire qu'il suffit de traverser la rue pour que notre jeunesse trouve du travail. Les "réformes" de ce gouvernement un saccage doublé de mensonges éhontés, la réforme du travail, du chômage, des retraites pour la majorité d'entre nous tombent dans la misère. C'est insupportable, groupons nous dans la lutte, jetons-nous dans la rue nous sommes des dizaines de millions et notre grand nombre peut les arrêter.”

“L'école publique est notre bien commun. Ne laissons pas une poignée d'oligarques, servis par Macron et Blanquer, la piller.”


“Je signe parce que c'est impératif, indispensable.”

“C'est le savoir qui a construit les sociétés. Blanquer veut faire de nos enfants des illettrés malléables.”

“Ce gouvernement n'écoute rien. Aucun dialogue c'est lamentable.”

“Les enseignants savent pour qui et pourquoi ils luttent !!!”

“Je soutiens les enseignants totalement sans aucune réserve, ils sont le socle de notre société et pourtant depuis des années ils sont malmenés sous payés, devant se soumettre aux changements de programme à l'arrivée d'un nouveau ministre qui veut laisser sa marque. Courage à vous et merci pour nos enfants.”


“Je signe pour dire non à la dérive sectaire de notre gouvernement.”

“Pour l’égalité républicaine !”

“L'école n'est pas une entreprise!! n'en déplaise aux opportunistes qui nous gouvernent!”

“Je tiens à une éducation de qualité émancipatrice pour toutes et tous en France et ailleurs !”

“Personne ne peut plus dire : "On ne peut pas savoir, essayons avant de critiquer". Ces réformes sont claires:supprimer des postes, des classes, des écoles, rendre impraticables les parcours scolaires pour ceux qui ne sont pas des privilégiés. Combien d'écoles et de collèges dans les quartiers qui en ont le plus besoin vont fermer? Combien de lycéens perdus dans le labyrinthe de Lycée 2019? Qui pourrait bien être favorisé par la loterie qu' est ParcourSup? Qui dirige, en fin de compte, cette logique comptable? ? Refusons, tant que nous pouvons encore le faire!”


Bloquons Blanquer

Parents pas confiants




https://www.lepotcommun.fr/pot/tdnghgr1
Répondre