Je ne comprenais plus ce que je faisais sur Facebook : on y est tous allés par paresse intellectuelle et suivisme, en se disant que puisque tout le monde y était, c'était là qu'il fallait être, mais je ne connais aucun raisonnement plus grégaire et absurde que celui-ci. Et quand Zuckerberg s'est mis à soutenir Trump et à faire des déclarations masculinistes et à la limite racistes, là, vraiment, je n'ai plus eu du tout envie de fréquenter ce cloaque de la pensée. Sans parler des algorithmes qui nous enferment dans des bulles de filtres néo-fascistes et libertariennes... Y'a quand même mieux comme support médiatique pour prôner l'émancipation, la liberté individuelle, la solidarité et l'anticapitalisme... Ou alors, faut vraiment avoir des affinités avec la schizophrénie. En plus, Facebook, c''est laid, et peu ergonomique. Alors qu'ici c'est classe. Donc me revoilà.
Quitter Facebook
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J'ai quitté Facebook, du moins le compte que j'utilisais le plus. Il me reste un compte au nom de drOne (pas de trémas sur cette saleté de réseau (a)social...), car je l'utiliserai peut-être pour informer de mes prochains lives en ligne.
Je ne comprenais plus ce que je faisais sur Facebook : on y est tous allés par paresse intellectuelle et suivisme, en se disant que puisque tout le monde y était, c'était là qu'il fallait être, mais je ne connais aucun raisonnement plus grégaire et absurde que celui-ci. Et quand Zuckerberg s'est mis à soutenir Trump et à faire des déclarations masculinistes et à la limite racistes, là, vraiment, je n'ai plus eu du tout envie de fréquenter ce cloaque de la pensée. Sans parler des algorithmes qui nous enferment dans des bulles de filtres néo-fascistes et libertariennes... Y'a quand même mieux comme support médiatique pour prôner l'émancipation, la liberté individuelle, la solidarité et l'anticapitalisme... Ou alors, faut vraiment avoir des affinités avec la schizophrénie. En plus, Facebook, c''est laid, et peu ergonomique. Alors qu'ici c'est classe. Donc me revoilà.
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Je ne comprenais plus ce que je faisais sur Facebook : on y est tous allés par paresse intellectuelle et suivisme, en se disant que puisque tout le monde y était, c'était là qu'il fallait être, mais je ne connais aucun raisonnement plus grégaire et absurde que celui-ci. Et quand Zuckerberg s'est mis à soutenir Trump et à faire des déclarations masculinistes et à la limite racistes, là, vraiment, je n'ai plus eu du tout envie de fréquenter ce cloaque de la pensée. Sans parler des algorithmes qui nous enferment dans des bulles de filtres néo-fascistes et libertariennes... Y'a quand même mieux comme support médiatique pour prôner l'émancipation, la liberté individuelle, la solidarité et l'anticapitalisme... Ou alors, faut vraiment avoir des affinités avec la schizophrénie. En plus, Facebook, c''est laid, et peu ergonomique. Alors qu'ici c'est classe. Donc me revoilà.
drÖne
d'où, chose remarquable, rien ne s'ensuit...
d'où, chose remarquable, rien ne s'ensuit...