Désenglobalisation
Modérateur : drÖne
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- Enregistré le : 13 nov. 2004, 12:06
- Localisation : Ouest
Désenglobalisation
Quelques idées comm'ça, en vrac:
* Avant de tomber dans un système ridicule, ou pour l'éviter, efforçons nous de nous " dépatouiller " de notre propre " colle psychologique ".
Pour toujours et défénitivement *, ayons une longueur d'avance.
Création : Utiliser notre cerveau comme un outil inexploité, et ce, d'une manière permanente*. Ren n'est jamais acquis.
* Références, souvenirs ( souvenirs du corps à exploiter ).
* Aseyons nous, laissons nous " balloter " L'esprit fait son travail, seul, comme il se doit. Son rôle de décantation.
* Toujours un maximum de distance : le " ça ".
* Ne pa peser " Je ", mais " ils ". D'une manière permanente.
* Se référer aux enfants, comme une sorte de douche psychologique salvatrice. Etre " propre " pour pouvoir avancer. Il y a toujours des parties bien crade en nous. Se laver en permanence.
* Jouer avec la carte du " Temps ". Ne pa être pressé. Jamais.
*Ne jamais penser "Je" mais Ils". Redondance.
* Toujours prendre son temps. Primordial pour la décantation.
* Etre friand de nouvelles données. En permanence ( Thème de la Vigilance redondante propre au sujet paranoïaque ou " éclairé "). Sous n'importe quelle forme sensitive.
* Gérer ses nerfs ( ? ). Respiration, compréhension de ses angoisses, vie tranquille. Environnement stable et sain.
* Aimer ( On va pas rev'nir lad'ssus 2005 années qu'on nous rabâche sur ce sujet. Sujet clôturé ).
Secouer le tout et ne rien attendre.
Prendre conscience que tous ces moyens sont des armes.
La guerre avec soi-même.
* Notion de permanence : Un phare qui nous signale l'éceuil de l'oubli.
trop fastoche, surtout avec des bières dans l'citron.
* Avant de tomber dans un système ridicule, ou pour l'éviter, efforçons nous de nous " dépatouiller " de notre propre " colle psychologique ".
Pour toujours et défénitivement *, ayons une longueur d'avance.
Création : Utiliser notre cerveau comme un outil inexploité, et ce, d'une manière permanente*. Ren n'est jamais acquis.
* Références, souvenirs ( souvenirs du corps à exploiter ).
* Aseyons nous, laissons nous " balloter " L'esprit fait son travail, seul, comme il se doit. Son rôle de décantation.
* Toujours un maximum de distance : le " ça ".
* Ne pa peser " Je ", mais " ils ". D'une manière permanente.
* Se référer aux enfants, comme une sorte de douche psychologique salvatrice. Etre " propre " pour pouvoir avancer. Il y a toujours des parties bien crade en nous. Se laver en permanence.
* Jouer avec la carte du " Temps ". Ne pa être pressé. Jamais.
*Ne jamais penser "Je" mais Ils". Redondance.
* Toujours prendre son temps. Primordial pour la décantation.
* Etre friand de nouvelles données. En permanence ( Thème de la Vigilance redondante propre au sujet paranoïaque ou " éclairé "). Sous n'importe quelle forme sensitive.
* Gérer ses nerfs ( ? ). Respiration, compréhension de ses angoisses, vie tranquille. Environnement stable et sain.
* Aimer ( On va pas rev'nir lad'ssus 2005 années qu'on nous rabâche sur ce sujet. Sujet clôturé ).
Secouer le tout et ne rien attendre.
Prendre conscience que tous ces moyens sont des armes.
La guerre avec soi-même.
* Notion de permanence : Un phare qui nous signale l'éceuil de l'oubli.
trop fastoche, surtout avec des bières dans l'citron.
Rien n'est vrai, tout est permis.
Ayant grandi dans la brousse, comme tout lion, j'ai verouillée en moi une expérience et une aspiration au bonheur qui n'arrive pas à s'ancrer dans des dispositifs techniques, et je n'arrive pas à fantasmer sur le net ni même à y projeter de la sociabilité, j'admire ce que vous y faites, personnellement, chaque fois que j'essaie d'échanger ou de communiquer par le net, je sens que je suis à côté de la plaque, que ça n'accroche pas, je n'y crois pas assez ou bien j'émets trop de signaux dissonants je ne sais pas trop. Mais pour moi, le net n'est pas un espace je n'ai pas incorporé cette expérience-là et je le regrette un peu.
Toujours est-il que pour moi le bonheur est dans des moments où on est heureux d'être envie immergés dans la nature plus puissante que soi, plongé dans la seconde, et à des échelles temporelles plus vastes quand même (on déborde sans cesse de notre présent) dans des micro collectifs de gens qui se cotoient longuement physiquement. Dans ma famille (et oui, j'ai de la chance) dans des équipes que j'ai eu l'immense chance de voir fonctionner sur un mode idéal, mais qui aujourd'hui se restreignent au plus micro des collectifs, à deux, car depuis quelques années, ça devient incroyablement difficile qu'une équipe fonctionne sur des principes "soi-disant" utopiques mais qui à moi ne me semblaient vraiment pas inatteignables si on est très peu, et qui pourtant deviennent follement difficiles à partager car on dirait que personne ne tient à autre chose que d'obéir à des chefs ou devenir un chef, fut-ce symboliquement.
Et puis finalement, il est dans l'amour pour celui que j'aime, voilà.
Ca me prend déjà tellement d'énergie d'être cohérente et d'avoir du courage à ces niveaux-là que je ne vois vraiment pas comment je pourrais prétendre faire quelque chose à une échelle plus grande, sauf justement à me retrouver dans un réseau aux mailles idéologiques si lâches que ça retirerait toute nécessité de faire des véritables choix au quotidien. L'action à un niveau vaste est pour moi comme une récréation, peut-être compliquée sur le plan organisationnel, mais moins difficile sur le plan de la cohérence, puisque qu'on ne maîtrise plus trop ce qu'on fait et que ce n'est plus une exigence qu'on peut s'imposer.
Mon périmètre d'action est extrêmement limité et plus il est limité, plus ça me prend d'énergie et plus je vois mes compromissions, mes lâchetés etc. J'en conclus que c'est à ce niveau qu'il faut que je sois, si jamais j'arrivais à être correcte à ce niveau, ce serait bien.
Je suis sidérée par ce qu'est parvenu à faire un type il y a 2005 ans, mais je me dis que le meilleur de ce qu'il y a eu dans le christianisme était peut-être ce qu'un petit groupe d'amis faisaient ensemble du temps où ils ont marché ensemble pour l'amour de l'un d'entre eux et pour l'amour d'eux-mêmes, ça devait être assez inouï ce qu'ils vivaient et c'est ça qui me fait rêver.
Mais le problème, c'est que c'est un profil sans humour, un profil fanatique, impérméables à l'ironie, c'est ce que Yourcenar met dans les commentaires de son Hadrien sur les premiers chrétiens. Je me sens parfois de ce côté, un peu sec et peu sensible à la provocation et l'humour, un peu sans grâce. Ca m'embête parce que j'ai l'impression que c'est ça le ciment des collectifs qui fonctionnent ici dans les gestes, les échos, la connivence qui résonne et qui contracte les temps. Groaaar, je m'empêtre.
Toujours est-il que pour moi le bonheur est dans des moments où on est heureux d'être envie immergés dans la nature plus puissante que soi, plongé dans la seconde, et à des échelles temporelles plus vastes quand même (on déborde sans cesse de notre présent) dans des micro collectifs de gens qui se cotoient longuement physiquement. Dans ma famille (et oui, j'ai de la chance) dans des équipes que j'ai eu l'immense chance de voir fonctionner sur un mode idéal, mais qui aujourd'hui se restreignent au plus micro des collectifs, à deux, car depuis quelques années, ça devient incroyablement difficile qu'une équipe fonctionne sur des principes "soi-disant" utopiques mais qui à moi ne me semblaient vraiment pas inatteignables si on est très peu, et qui pourtant deviennent follement difficiles à partager car on dirait que personne ne tient à autre chose que d'obéir à des chefs ou devenir un chef, fut-ce symboliquement.
Et puis finalement, il est dans l'amour pour celui que j'aime, voilà.
Ca me prend déjà tellement d'énergie d'être cohérente et d'avoir du courage à ces niveaux-là que je ne vois vraiment pas comment je pourrais prétendre faire quelque chose à une échelle plus grande, sauf justement à me retrouver dans un réseau aux mailles idéologiques si lâches que ça retirerait toute nécessité de faire des véritables choix au quotidien. L'action à un niveau vaste est pour moi comme une récréation, peut-être compliquée sur le plan organisationnel, mais moins difficile sur le plan de la cohérence, puisque qu'on ne maîtrise plus trop ce qu'on fait et que ce n'est plus une exigence qu'on peut s'imposer.
Mon périmètre d'action est extrêmement limité et plus il est limité, plus ça me prend d'énergie et plus je vois mes compromissions, mes lâchetés etc. J'en conclus que c'est à ce niveau qu'il faut que je sois, si jamais j'arrivais à être correcte à ce niveau, ce serait bien.
Je suis sidérée par ce qu'est parvenu à faire un type il y a 2005 ans, mais je me dis que le meilleur de ce qu'il y a eu dans le christianisme était peut-être ce qu'un petit groupe d'amis faisaient ensemble du temps où ils ont marché ensemble pour l'amour de l'un d'entre eux et pour l'amour d'eux-mêmes, ça devait être assez inouï ce qu'ils vivaient et c'est ça qui me fait rêver.
Mais le problème, c'est que c'est un profil sans humour, un profil fanatique, impérméables à l'ironie, c'est ce que Yourcenar met dans les commentaires de son Hadrien sur les premiers chrétiens. Je me sens parfois de ce côté, un peu sec et peu sensible à la provocation et l'humour, un peu sans grâce. Ca m'embête parce que j'ai l'impression que c'est ça le ciment des collectifs qui fonctionnent ici dans les gestes, les échos, la connivence qui résonne et qui contracte les temps. Groaaar, je m'empêtre.
Le Lion Bleuflorophage
- kickblaster
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C'est vrai que tout ceci est bien présomptueux.
Des idées en vracs pour un monologue qui ne pourrait intéresser que moi. Et ce forum pour atteindre des esprits qui aiment hanter ce forum, par habitude, curiosité, ou lassitude du monde extérieur. Sans aller trop loin, à quoi bon ?
Des idées en vracs pour un monologue qui ne pourrait intéresser que moi. Et ce forum pour atteindre des esprits qui aiment hanter ce forum, par habitude, curiosité, ou lassitude du monde extérieur. Sans aller trop loin, à quoi bon ?
Rien n'est vrai, tout est permis.
- drÖne
- Présidictateur
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- Localisation : Présidictature de Drönésie Orientale
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Non, tu ne t'empêtres pas ! pOu alors pas plus que nous tous en fait : se ce à quoi nous sommes confrontés, aussi bien dans l'intime des relations amoureuses, amicales ou familiales, ou dans le soi disant "débat public", si tout cela que l'on appelle "comprendre", "se comprendre", "communiquer", "accepter", "s'accepter", "aimer", "raisonner", etc., bref si tout cela était simple, on le saurait. Il y a bien des philosophes et des intellectuels qui prétendent apporter des réponses, mais tu sais ce que je pense des philosophes : qu'il faut s'en méfier, voire même les combattre. Car pour moi ileurs idées ne valent que par ce qu'elles mettent en place quand ils ont l'occasion d'exercer leurs "talents"sur des collectifs, par exemple quand on leur confie des responsabilité d'organisation dans une université : et là, autant dire que le résultat n'est pas reluisant...
Donc, puisque ni les intellectuels ni les philosophe ne nous seront d'aucune aide, il reste cette même difficulté qu'on éprouve tous à se situer, à s'accepter, à se comprendre... et depuis si longtemps que ça devrait nous prémunir contre les solutions "clé en mains" comme il en circule tant sur le net : l'activisme, les collectifs en réseau, la e-démocratie, etc., pfff...
Cet été j'ai plus que jamais moi aussi ressenti l'absolue et urgente nécessité d'être confronté à l'immensité d'espaces naturels indifférents à l'homme : être perdu dans un univers minéral, inhumain, presque surnaturel, comme je l'ai été durant des semaines, m'est nécessaire. Je le sais depuis toujours, mais on trouve toujours plus urgent à faire que ces urgences là, si peu à la mode en ce moment... Pourtant, qu'est-ce qu'on peut rêver de plus fort que de passer des heures à ne penser à rien (ou à méditer, au choix) au coeur d'un désert de sable, face à une montagne rose-pourpre et jaune, devant un horizon marin où croisent des baleines, quand on entend leurs respirations par centaines, l'explosion liquide de leurs sauts en cascade dans la mer, et les soupirs de satisfaction des otaries qui s'étirent au soleil.
Le net comme espace ? Non, bien sûr... A la rigueur pour se rendre témoins, comme tu le dis souvent, "témoins" de nos inquiétudes, de nos divagations, de nos rêveries ou de nos joies. C'est déjà pas si mal. Room 101 a eu sa période "activiste", intenses moments d'organisation à grande échelle, cachée, souterraine, mais qu'en est-il resté ? On n'a pas assez cru au "small is beautyful". Pourtant, comme toi, j'y crois plus qu'aux collectifs agités, et l'échelle d'action qui m'intéresse maintenant, c'est l'échelle micro. Le couple comme micro collectif le plus abouti : ouais ! Tant qu'on sait qu'on n'est pas dans le trip "bunkerisation" ou "cocooning" à la manière de ces familles américaines ou européennes de la classe moyenne ou aisée, qui vivent derrière des barbelés, l'oeil rivé à leur vidéo surveillance, un doigt sur la gachette, pour défendre "les valeurs de la famille". Bien entendu, il y a d'autres manière de penser ces mirco collectifs que cette manière abjecte à l'égoisme malsain.
Même si ça va totalement à l'encontre de mon soubassement culturel punk, je crois que ton exemple du Christ et de l'amour est en effet l'exemple à suivre. Mais en version athée en ce qui me concerne : rien à faire avec les dévots ! Qu'est-ce qu'on a d'autre à faire sur cette terre avant de mourir, à part aimer ? Dans mes bras, Le Lion !
+A+
Donc, puisque ni les intellectuels ni les philosophe ne nous seront d'aucune aide, il reste cette même difficulté qu'on éprouve tous à se situer, à s'accepter, à se comprendre... et depuis si longtemps que ça devrait nous prémunir contre les solutions "clé en mains" comme il en circule tant sur le net : l'activisme, les collectifs en réseau, la e-démocratie, etc., pfff...
Cet été j'ai plus que jamais moi aussi ressenti l'absolue et urgente nécessité d'être confronté à l'immensité d'espaces naturels indifférents à l'homme : être perdu dans un univers minéral, inhumain, presque surnaturel, comme je l'ai été durant des semaines, m'est nécessaire. Je le sais depuis toujours, mais on trouve toujours plus urgent à faire que ces urgences là, si peu à la mode en ce moment... Pourtant, qu'est-ce qu'on peut rêver de plus fort que de passer des heures à ne penser à rien (ou à méditer, au choix) au coeur d'un désert de sable, face à une montagne rose-pourpre et jaune, devant un horizon marin où croisent des baleines, quand on entend leurs respirations par centaines, l'explosion liquide de leurs sauts en cascade dans la mer, et les soupirs de satisfaction des otaries qui s'étirent au soleil.
Le net comme espace ? Non, bien sûr... A la rigueur pour se rendre témoins, comme tu le dis souvent, "témoins" de nos inquiétudes, de nos divagations, de nos rêveries ou de nos joies. C'est déjà pas si mal. Room 101 a eu sa période "activiste", intenses moments d'organisation à grande échelle, cachée, souterraine, mais qu'en est-il resté ? On n'a pas assez cru au "small is beautyful". Pourtant, comme toi, j'y crois plus qu'aux collectifs agités, et l'échelle d'action qui m'intéresse maintenant, c'est l'échelle micro. Le couple comme micro collectif le plus abouti : ouais ! Tant qu'on sait qu'on n'est pas dans le trip "bunkerisation" ou "cocooning" à la manière de ces familles américaines ou européennes de la classe moyenne ou aisée, qui vivent derrière des barbelés, l'oeil rivé à leur vidéo surveillance, un doigt sur la gachette, pour défendre "les valeurs de la famille". Bien entendu, il y a d'autres manière de penser ces mirco collectifs que cette manière abjecte à l'égoisme malsain.
Même si ça va totalement à l'encontre de mon soubassement culturel punk, je crois que ton exemple du Christ et de l'amour est en effet l'exemple à suivre. Mais en version athée en ce qui me concerne : rien à faire avec les dévots ! Qu'est-ce qu'on a d'autre à faire sur cette terre avant de mourir, à part aimer ? Dans mes bras, Le Lion !
+A+
drÖne
d'où, chose remarquable, rien ne s'ensuit...
d'où, chose remarquable, rien ne s'ensuit...
la deuxième on dirait un tableau, c'est fort...
mais pas besoin d'aller faire des milliers de kilomètres en avion pour avoir des sensations (ou à pied alors), ici en une heure de marche j'admire les montagnes, j'y voit la ste victoire à 100 km et toutes les autres, la mer à 30, les arbousiers, et autres plantes sauvages autour, et la ville enfumée qui grouille en bas avec son organisation impeccable, et en face un bleu implacable illusion parfaite. Qu'est ce que je fout là ? putain! je suis là dessus sur ce gros monstre patatoïde...
mais ça vous le savez déjà
ah ah ah !!!! :D
mais pas besoin d'aller faire des milliers de kilomètres en avion pour avoir des sensations (ou à pied alors), ici en une heure de marche j'admire les montagnes, j'y voit la ste victoire à 100 km et toutes les autres, la mer à 30, les arbousiers, et autres plantes sauvages autour, et la ville enfumée qui grouille en bas avec son organisation impeccable, et en face un bleu implacable illusion parfaite. Qu'est ce que je fout là ? putain! je suis là dessus sur ce gros monstre patatoïde...
mais ça vous le savez déjà
ah ah ah !!!! :D
rien n'est vrai, rien n'est possible
Merci Pour le voyage!!!
Je reviens aux idées en vrac de kickblaster, je vais faire dans la lourdeur je préviens : j'avais bien envie de dialoguer à partir des propositions, je me précipite, je jette un gros pavé autocentré inspiré des idées qu'il avait proposées, mais sans vraiment y référer explicitement, et hop ça étouffe immédiatement l'amorce de dialogue. Voilà pourquoi je ne sais pas me comporter sur le net, une éducation à refaire.
Mais aussi notre extrême sensibilité aux questions de communication rend peut-être plus difficile le rapport à l'utopie, parce que nous voyons trop les situations de communication devant les états de conscience partagés, nous ne les oublions presque jamais, et ils nous renvoient immanquablement à nous-mêmes.
Je reviens aux idées en vrac de kickblaster, je vais faire dans la lourdeur je préviens : j'avais bien envie de dialoguer à partir des propositions, je me précipite, je jette un gros pavé autocentré inspiré des idées qu'il avait proposées, mais sans vraiment y référer explicitement, et hop ça étouffe immédiatement l'amorce de dialogue. Voilà pourquoi je ne sais pas me comporter sur le net, une éducation à refaire.
Mais aussi notre extrême sensibilité aux questions de communication rend peut-être plus difficile le rapport à l'utopie, parce que nous voyons trop les situations de communication devant les états de conscience partagés, nous ne les oublions presque jamais, et ils nous renvoient immanquablement à nous-mêmes.
Le Lion Bleuflorophage