Publié : 01 mars 2006, 14:33
Ah! C'est encore une autre idée que tu amènes : installer un coin bibliothèque et même faire du book crossing : don/circulation de livres, ce qui libère de toute contrainte logistique de stockage, classement, etc.
Charli qu'est-ce que tu en penses?
Pour le café Hobo, je reviens un peu sur ce que je proposais suite à une conversation avec Dröne : si je mets l'échéance un peu loin c'est parce que le projet ne serait pas "simplement" de faire une soirée avec des intervention sur le thèmes des hobos (les vagabonds des années 30 aux USA) et les phénomènes auxquels il peut se rattacher ici aujourd'hui, mais de réfléchir à qui ça pourrait vraiment intéresser et servir comme public.
Ce serait simple et rapide de monter une soirée "hobo" juste dans l'idée de présenter un thème et de le traiter, mais ce serait dommage de ne pas essayer de voir si c'est pertinent par rapport au public des personnes qui sont très à l'écart des lieux culturels consacrés et aussi très à l'écart aussi des mouvements culturels jeunes (free, musique, fête, etc.).
Comme Chris, je trouve très intéressant Charli que la gare expérimentale veuillent donner place à des gens et des genres très hétérogènes.
Surtout ne pas faire une soirée qui ramènerait le public des amis et réseaux qui ont déjà accès à tout ce qu'ils veulent dans leur propre créneau culturel, mais voir si ça aurait un intérêt et une pertinence pour le public de l'équivalent des hobos (parisiens, contemporains) et j'ai pensé tout de suite donc à ceux que j'ai vus si souvent dans les médiathèques des grands établissements, lieux protecteurs anonymes et gratuits.
Donc peut-être d'ici là voir dans les médiathèques si ce phénomène persiste, comment ça se passe, est-ce qu'il y a des liens, discuter avec les médiathécaires, etc.
Je me souviens dans une exposition d'un philosophe aujourd'hui très à la mode, Stiegler, à Beaubourg (dont il prend aujourd'hui la direction) il y avait des tas de télévisions et devant, tout ce monde d'habitués désargentés qui venaient regarder les télés du monde gratuitement, je trouvais super qu'ils n'aient pas peur d'entrer et de s'installer, que le lieu suscite ça, et que ça apporte une telle contradiction au discours même de l'exposition. J'avais fait un texte là-dessus, obscur texte d'obscur étudiant, Stiegler n'était pas très content...
Charli qu'est-ce que tu en penses?
Pour le café Hobo, je reviens un peu sur ce que je proposais suite à une conversation avec Dröne : si je mets l'échéance un peu loin c'est parce que le projet ne serait pas "simplement" de faire une soirée avec des intervention sur le thèmes des hobos (les vagabonds des années 30 aux USA) et les phénomènes auxquels il peut se rattacher ici aujourd'hui, mais de réfléchir à qui ça pourrait vraiment intéresser et servir comme public.
Ce serait simple et rapide de monter une soirée "hobo" juste dans l'idée de présenter un thème et de le traiter, mais ce serait dommage de ne pas essayer de voir si c'est pertinent par rapport au public des personnes qui sont très à l'écart des lieux culturels consacrés et aussi très à l'écart aussi des mouvements culturels jeunes (free, musique, fête, etc.).
Comme Chris, je trouve très intéressant Charli que la gare expérimentale veuillent donner place à des gens et des genres très hétérogènes.
Surtout ne pas faire une soirée qui ramènerait le public des amis et réseaux qui ont déjà accès à tout ce qu'ils veulent dans leur propre créneau culturel, mais voir si ça aurait un intérêt et une pertinence pour le public de l'équivalent des hobos (parisiens, contemporains) et j'ai pensé tout de suite donc à ceux que j'ai vus si souvent dans les médiathèques des grands établissements, lieux protecteurs anonymes et gratuits.
Donc peut-être d'ici là voir dans les médiathèques si ce phénomène persiste, comment ça se passe, est-ce qu'il y a des liens, discuter avec les médiathécaires, etc.
Je me souviens dans une exposition d'un philosophe aujourd'hui très à la mode, Stiegler, à Beaubourg (dont il prend aujourd'hui la direction) il y avait des tas de télévisions et devant, tout ce monde d'habitués désargentés qui venaient regarder les télés du monde gratuitement, je trouvais super qu'ils n'aient pas peur d'entrer et de s'installer, que le lieu suscite ça, et que ça apporte une telle contradiction au discours même de l'exposition. J'avais fait un texte là-dessus, obscur texte d'obscur étudiant, Stiegler n'était pas très content...