LA GARE EXPERIMENTALE
Ah! C'est encore une autre idée que tu amènes : installer un coin bibliothèque et même faire du book crossing : don/circulation de livres, ce qui libère de toute contrainte logistique de stockage, classement, etc.
Charli qu'est-ce que tu en penses?
Pour le café Hobo, je reviens un peu sur ce que je proposais suite à une conversation avec Dröne : si je mets l'échéance un peu loin c'est parce que le projet ne serait pas "simplement" de faire une soirée avec des intervention sur le thèmes des hobos (les vagabonds des années 30 aux USA) et les phénomènes auxquels il peut se rattacher ici aujourd'hui, mais de réfléchir à qui ça pourrait vraiment intéresser et servir comme public.
Ce serait simple et rapide de monter une soirée "hobo" juste dans l'idée de présenter un thème et de le traiter, mais ce serait dommage de ne pas essayer de voir si c'est pertinent par rapport au public des personnes qui sont très à l'écart des lieux culturels consacrés et aussi très à l'écart aussi des mouvements culturels jeunes (free, musique, fête, etc.).
Comme Chris, je trouve très intéressant Charli que la gare expérimentale veuillent donner place à des gens et des genres très hétérogènes.
Surtout ne pas faire une soirée qui ramènerait le public des amis et réseaux qui ont déjà accès à tout ce qu'ils veulent dans leur propre créneau culturel, mais voir si ça aurait un intérêt et une pertinence pour le public de l'équivalent des hobos (parisiens, contemporains) et j'ai pensé tout de suite donc à ceux que j'ai vus si souvent dans les médiathèques des grands établissements, lieux protecteurs anonymes et gratuits.
Donc peut-être d'ici là voir dans les médiathèques si ce phénomène persiste, comment ça se passe, est-ce qu'il y a des liens, discuter avec les médiathécaires, etc.
Je me souviens dans une exposition d'un philosophe aujourd'hui très à la mode, Stiegler, à Beaubourg (dont il prend aujourd'hui la direction) il y avait des tas de télévisions et devant, tout ce monde d'habitués désargentés qui venaient regarder les télés du monde gratuitement, je trouvais super qu'ils n'aient pas peur d'entrer et de s'installer, que le lieu suscite ça, et que ça apporte une telle contradiction au discours même de l'exposition. J'avais fait un texte là-dessus, obscur texte d'obscur étudiant, Stiegler n'était pas très content...
Charli qu'est-ce que tu en penses?
Pour le café Hobo, je reviens un peu sur ce que je proposais suite à une conversation avec Dröne : si je mets l'échéance un peu loin c'est parce que le projet ne serait pas "simplement" de faire une soirée avec des intervention sur le thèmes des hobos (les vagabonds des années 30 aux USA) et les phénomènes auxquels il peut se rattacher ici aujourd'hui, mais de réfléchir à qui ça pourrait vraiment intéresser et servir comme public.
Ce serait simple et rapide de monter une soirée "hobo" juste dans l'idée de présenter un thème et de le traiter, mais ce serait dommage de ne pas essayer de voir si c'est pertinent par rapport au public des personnes qui sont très à l'écart des lieux culturels consacrés et aussi très à l'écart aussi des mouvements culturels jeunes (free, musique, fête, etc.).
Comme Chris, je trouve très intéressant Charli que la gare expérimentale veuillent donner place à des gens et des genres très hétérogènes.
Surtout ne pas faire une soirée qui ramènerait le public des amis et réseaux qui ont déjà accès à tout ce qu'ils veulent dans leur propre créneau culturel, mais voir si ça aurait un intérêt et une pertinence pour le public de l'équivalent des hobos (parisiens, contemporains) et j'ai pensé tout de suite donc à ceux que j'ai vus si souvent dans les médiathèques des grands établissements, lieux protecteurs anonymes et gratuits.
Donc peut-être d'ici là voir dans les médiathèques si ce phénomène persiste, comment ça se passe, est-ce qu'il y a des liens, discuter avec les médiathécaires, etc.
Je me souviens dans une exposition d'un philosophe aujourd'hui très à la mode, Stiegler, à Beaubourg (dont il prend aujourd'hui la direction) il y avait des tas de télévisions et devant, tout ce monde d'habitués désargentés qui venaient regarder les télés du monde gratuitement, je trouvais super qu'ils n'aient pas peur d'entrer et de s'installer, que le lieu suscite ça, et que ça apporte une telle contradiction au discours même de l'exposition. J'avais fait un texte là-dessus, obscur texte d'obscur étudiant, Stiegler n'était pas très content...
Le Lion Bleuflorophage
Henri et moi avons déjà commencé à partager nos bibliothèques, il y a aussi à disposition des films, une TV avec lecteur DVD et magnéto VHS dans l'apocalyptique cuisine, ou par mal de choses sont à remanier du fait d'un départ de deux habitants...LLB a écrit :Ah! C'est encore une autre idée que tu amènes : installer un coin bibliothèque et même faire du book crossing : don/circulation de livres, ce qui libère de toute contrainte logistique de stockage, classement, etc.
Charli qu'est-ce que tu en penses?
L'idée est de remplacer un bouquin par un autre, est-ce que tu entends par "book crossing" ?
Chris, on veut bien des bouquins, on ne va pas se nourrir que de nutriments et de drogues ! ;o)
Je suis emballé par ce projet, qui ne peut se faire comme ça, juste pour s'écouter parler (encore et encore) voire se regarder entendre...LLB a écrit :Pour le café Hobo, je reviens un peu sur ce que je proposais suite à une conversation avec Dröne : si je mets l'échéance un peu loin c'est parce que le projet ne serait pas "simplement" de faire une soirée avec des intervention sur le thèmes des hobos (les vagabonds des années 30 aux USA) et les phénomènes auxquels il peut se rattacher ici aujourd'hui, mais de réfléchir à qui ça pourrait vraiment intéresser et servir comme public.
Ce serait simple et rapide de monter une soirée "hobo" juste dans l'idée de présenter un thème et de le traiter, mais ce serait dommage de ne pas essayer de voir si c'est pertinent par rapport au public des personnes qui sont très à l'écart des lieux culturels consacrés et aussi très à l'écart aussi des mouvements culturels jeunes (free, musique, fête, etc.).
Après, un énorme travail à faire sur je/tu/elle/il/on/nous/vous/elles/ils...
Pour que ce projet ne soit pas qu'un mot... pas mal de tensions d'ego, d'impatiences. Il faut que je contacte ce type, ancien clodo, qui est l'instigateur d'un centre social à la Porte de Vanves. Il paraîtrait qu'il a écrit un bouquin et fait des conf' sur cet univers. je peux lui parler de votre projet ?
Ceci dit, chacun a son "niveau de compréhension" de ce lieu... appréhensions pour certains, salle de loc avec une caution morale pour d'autres, des gns la tête dans les nuages... ce qui compte réellement c'est d'avoir des individus qui entreprennent... enfin on laisse des chances à tous.LLB a écrit :Comme Chris, je trouve très intéressant Charli que la gare expérimentale veuillent donner place à des gens et des genres très hétérogènes.
Le truc très chouette dans l'histoire, c'est que vendredi 3, on fait une soirée "entrenou" à laquelle vous êtes cordialement invités. Donc peut-être pourra-t-on discuter à travers autre chose que la trésorerie, l'administratif, le ménage... mais plutôt échanger par l'improvisation ! Là, ça peut porter des fruits, si on peut arriver à fonctionner ensemble, plutôt que par le carde des asso qui font leurs soirées... ce cadre est toutefois nécessaire, il sert de cocon pour commencer, mais je crois en l'éclatement ce ces cellules, au profit des individus et de la communauté qui se crée. Auront lieu aussi des soirées de la Gare dont les profits seront entièrement versés à la Gare... je me vois mal pour celle que j'envisage de faire me payer, mis à part le défraiement des "artistes"...
Oui, merci d'apporter quelques mots, ce n'est pas tout mais ça réchauffe.LLB a écrit :Surtout ne pas faire une soirée qui ramènerait le public des amis et réseaux qui ont déjà accès à tout ce qu'ils veulent dans leur propre créneau culturel, mais voir si ça aurait un intérêt et une pertinence pour le public de l'équivalent des hobos (parisiens, contemporains) et j'ai pensé tout de suite donc à ceux que j'ai vus si souvent dans les médiathèques des grands établissements, lieux protecteurs anonymes et gratuits.
Donc peut-être d'ici là voir dans les médiathèques si ce phénomène persiste, comment ça se passe, est-ce qu'il y a des liens, discuter avec les médiathécaires, etc.
Il y a beaucoup à faire, on ne peut le faire seul.
Merci pour la visite, à tantôt, ici ou ailleurs.
- patman
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yep, je suis à la bourre mais si ya besoin de mes sévices, flash, php, photos panoramiks, blouson a votre image (je vai m'en faire pr crapahuter ds les salons immobiliers de ma région...mankera plu ke les pompoms girls ), slip logoté gare XP, préfou, trouspinette, mogettes de mamie...
du reste en parlant de drogue j'ai un bon litre de goutte de coing tomahawk à géronimo, sa vous branche ??
c bien du coing géronimo (je suis pa prè de finir les 3 otes litres mon lapinou...) ?
une mascotte vous avez ?? moi je verai bien un mignon petit rat, je dis cela comme sa... et tiens vi jy pense : boulet (il fait des tours incroyables, posage de pèche la ou y fot po, machouillage de fils sans s'électrocuter, marche sur 4 pattes, et pleins d'autres choses) y voit personne avec moi j'ai peur pour sa santé et son épanouissement, et il peut voyager ds un collissimo, il adore, si si.
++
du reste en parlant de drogue j'ai un bon litre de goutte de coing tomahawk à géronimo, sa vous branche ??
c bien du coing géronimo (je suis pa prè de finir les 3 otes litres mon lapinou...) ?
une mascotte vous avez ?? moi je verai bien un mignon petit rat, je dis cela comme sa... et tiens vi jy pense : boulet (il fait des tours incroyables, posage de pèche la ou y fot po, machouillage de fils sans s'électrocuter, marche sur 4 pattes, et pleins d'autres choses) y voit personne avec moi j'ai peur pour sa santé et son épanouissement, et il peut voyager ds un collissimo, il adore, si si.
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Pour un peu de goutte de coing, tu as carte blanche (de toute façon, on est déjà habitués à rammasser les deurmz des chiens de la gare, alors celles d'un p'tit ratoon...) !!!patman a écrit :yep, je suis à la bourre mais si ya besoin de mes sévices, flash, php, photos panoramiks, blouson a votre image (je vai m'en faire pr crapahuter ds les salons immobiliers de ma région...mankera plu ke les pompoms girls ), slip logoté gare XP, préfou, trouspinette, mogettes de mamie...
du reste en parlant de drogue j'ai un bon litre de goutte de coing tomahawk à géronimo, sa vous branche ??
c bien du coing géronimo (je suis pa prè de finir les 3 otes litres mon lapinou...) ?
une mascotte vous avez ?? moi je verai bien un mignon petit rat, je dis cela comme sa... et tiens vi jy pense : boulet (il fait des tours incroyables, posage de pèche la ou y fot po, machouillage de fils sans s'électrocuter, marche sur 4 pattes, et pleins d'autres choses) y voit personne avec moi j'ai peur pour sa santé et son épanouissement, et il peut voyager ds un collissimo, il adore, si si.
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très chouette l'affiche...
ta de la chance charlie, je ne lui en soufflerait point mots, y serait furaxx, il hurle des fois la nuit, c'est te dire kil n'a rien d'ordinaire.alors celles d'un p'tit ratoon...) !!!
Zinon la scalpante goutte du bailleur ben l'adresse de la gare jai po trop cherché mais je lai po attrapède sur votre site...t'envoiche ?
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Le book crossing est une pratique qui consiste à donner des bouquins qui doivent être donnés à quelqu'un d'autre quand on a fini de les lire et ainsi de suite, en principe le trajet des livres est signalé sur des sites qui sont aussi des lieux du commentaire de ces livres. Mais l'essentiel, c'est le principe du don et de la circulation. Les livres ainsi mis en circulation sont marqués pour signaler qu'ils sont destinés à être donnés après lecture.
J'hésite en général à faire des trucs en trop, du bruit, je redoute l'action vaine, beaucoup plus que les mots.
Je sais qu'en général c'est le contraire; l'action est valorisée et les mots méprisés, mais le surplus d'action qui grille des possibilités est plus redoutable pour moi que les mots inutiles.
Mais là, il y a comme un grand souffle, (tiens ça me rappelle NdM).
Oui! tu as raison de redouter qu'on en reste aux mots mais en même temps, si on commence à rencontrer les gens - je vais aller voir les médiathèques - on sera plus seulement dans les mots. Et si on est dans les mots quand même, c'est parce que il en faut peut-être beaucoup - des mots - pour donner forme à quelque chose de pertinent en tout cas c'est mon cas.Pour que ce projet ne soit pas qu'un mot... pas mal de tensions d'ego, d'impatiences. Il faut que je contacte ce type, ancien clodo, qui est l'instigateur d'un centre social à la Porte de Vanves. Il paraîtrait qu'il a écrit un bouquin et fait des conf' sur cet univers. je peux lui parler de votre projet ?
J'hésite en général à faire des trucs en trop, du bruit, je redoute l'action vaine, beaucoup plus que les mots.
Je sais qu'en général c'est le contraire; l'action est valorisée et les mots méprisés, mais le surplus d'action qui grille des possibilités est plus redoutable pour moi que les mots inutiles.
Mais là, il y a comme un grand souffle, (tiens ça me rappelle NdM).
Le Lion Bleuflorophage