NY Break-in 04 : ze report

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drÖne
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NY Break-in 04 : ze report

Message par drÖne »

Yep !

I'm back...

J'avoue avoir passé un jour de l'an franchement sympa, après avoir été invité à jouer avec SpeedyJack dans une soirée privée indus qui se passait vers Nuits Saint Georges (entre Dijon et Beaune), dans l'immense cave (au look bien brutal) d'une maison de vin de la région. On avait pour consigne de ne pas donner l'info, et on a tenu notre langue, d'où ce "report" qui ne fait suite à aucune annonce.

C'était Industrial Tribe (big merci à @mo et @nne) qui organisait cette soirée : http://industrialtribe.free.fr

Je ne les connaissais pas avant, mais ils avaient fort bien fait les choses : un line up férocement indus (on était le son le plus "propre sur nous" de la soirée), une petite centaine de personnes venues d'un peu partout (Strasbourg, Nancy, Dijon, Marseille, Paris, et Montpellier), un succulent coq au vin (y'a des bon vivants chez les gens de l'indus, qui l'eu cru ?), une bonne façade d'1,5 KW, et pas mal de discussions entre les gens.

Image

Qui plus est, Le Lion, Raph, Milie, Primus, SpeedyJack et Co avaient fait le déplacement, avec moult boisson et même du champagne présidictatorial apporté par Raph : hip, hip, hip !

Bref, on a mixé une petite heure, comme convenu, en se faisant plaisir because le son des retours était plutôt bon, et on a découvert pas mal de lives intéressants. Au fait, pour ceusses qui étaient dans le public (Le Lion, Raph, Millie, Co, et Primus), faudra nous dire comment vous avez perçu notre live (ego, ego... mais les critiques sont les bienvenues) : on est partis pas mal dans l'impro, mais j'avoue que je n'étais pas très en forme (la crève et des médicaments à prendre, ça aide pas à avoir la pêche !).

Je pense que les amateurs de tek ont dû être un peu perturbés, car le son était franchement dur, dans l'esprit indus d'inspiration bruitiste à l'allemande : faut aimer les couches de disto sur des beats concassés ! Y'avait aussi des VJ : SpeedyJack a assuré notre live machine + VJ en l'absence de Squal, et Fiona (belles projections sur les murs).

Au petit matin : tidéj, avec brioches, fruits frais, thé ou café, la totale ! Y'a pas à dire : ils ne se laissent pas abattre en Bourgogne !

Voilà, moi j'ai bien aimé débuter 2004 en mariant un coq au vin de Bourgogne avec la brutalité du son du marteau pilon sur un bloc d'acier ! Comme la rencontre de Jean Pierre Coffe et de Terminator sur une table à dissection ! Vive les contrastes !

+A+
drÖne
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Otaku
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Message par Otaku »

ben, drone tu as superbement défini la soirée.Juste un petit détail j'ai trouvé que sa manquait un peu de sourire sur la figure des gens .Je pense qu'on peut etre dans l'indus tout en ayant de la joie au coeur mais bon je ne suis pas là pour dénnoncer le plus déprimé de la soirée. *Je n'ai d'autre alternative que de m'effondrer sur le sol, pris d'un rire hystérique*.

Drone&Speedy bravo pour votre set moi je suis fan.la musik que vous faite et toujours aussi personnelle et qualitative.Elle allait bien avec le theme de la soirée d'ailleur.
ya un coté dark mystik qui me plait.

Sinon le son d'audio trauma et les autres, les héraultais ils ont bien kifé.Sa change de ce qu'on peut entendre dans le sud.Ici quand on sort sa tourne un peut en rond coté zikmu.
Les light etait présente,les machines,et les visual aussi sa tournait quoi.

j'ai un peu mal au tympan mais c'est pour la bonne cause.

allé bye,et salut a tout les dronézien et ******** a tous

smdance
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LLB
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Message par LLB »

J'y étais!!! Quand Dröne m'a expliqué que c'était à Nuits Saint-Geogres dans une cave à vin je me suis dit qu'il y avait des mélanges extraordinaires. Je connaissais la cave genre celle de monsieur Prunier à Auxey Duresses pour son excellentissime vin, mais je n'imaginais pas des locks dans le look du viticulteur et des fêtes dans les caves.
J'ai trouvé que votre set était magnifique, très varié et fluide, on entendait tout et en même temps, on sentait le déroulement, il faisait une excellente transition entre ce qui précédait (je n'ai pas le vocabulaire, mais c'était plutôt bruitiste) et la suite, de plus en plus "épais" on va dire, comme pour le vin. D'ailleurs, vous êtes passés à un moment de transition, avant le coq au vin (heureusement que ce n'était pas pendant), et après la phase début de soirée.
Mais votre set a aussi été le moment de l'arrivée de Raf et sa bande (Millie et Julien je crois?), et j'étais donc comblée de choses intéressantes à vivre en même temps, puisque je rencontrais pour la première fois ce fameux Raf à qui j'avais fort envie de serrer la pince, et qui est venu avec force bouteilles, verres de toutes sortes (pour le vin, le champagne), nous trinquâmes et retrinquâmes, vous m'excuserez si je n'ai pas vraiment soutenu de conversation mais je suis épatée que vous puissiez discuter tranquillement avec un tel niveau sonore, je n'ai pas cette capacité, pas assez entraînée, et ce mélange vins et sons était redoutable. Super super.
Le Lion Bleuflorophage
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drÖne
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Message par drÖne »

En fait je ne suis pas sûr qu'on y arrive vraiment, même avec de l'entrainement ! Je trouve ça toujours assez étrange, les conversations de teufs : tout est toujours très haché, on est obligé d'en rajouter dans la gestuelle, pour compenser justement les difficultés d'audition, on ne comprend pas tout de ce que les gens nous disent, mais on tente par delà le son à comprendre ce qui anime les autres, ce qu'ils cherchent. En fait, on décrit souvent la musique comme facteur d'union d'un public dans la "transe" collective, mais si on fait attention à l'ensemble de ce qui se passe dans une soirée, objectivement, la musique jouée très fort est plutôt un obstacle à la compréhension. Mais c'est peut-être ça qui est intéressant, car ça impose de réguler son attention différemment dans les discussions. Un peu comme si une fonction de la musique, du point de vue de la discussion, était de séparer les gens pour qu'ils manifestent de manière plus fraiche, plus "innocente", leur envie de comprendre l'autre. Au sens basique de la "compréhension" bien entendu (quand c'est le bruit, qui couvre les conversations), mais au plan métaphorique c'est pas mal non plus, je trouve.

Sinon, pour l'absence de sourires, c'est vrai que cette scène indus n'a pas les mêmes modes de faire que les scènes tek. Je le sais bien, vu que je viens de ce type d'écoutes à l'origine, dans les années 80. C'était pas exactement ces musiques là, mais l'esprit général, pas très guilleret, était déjà présent, et même plus qu'aujourd'hui ! C'est un peu comme dans les festivals electronica : en général, c'est pas hyper-festif, mais on peut aussi se dire qu'il y a mille manière de vivre son rapport à la musique, et que ça évolue dans le cours d'une vie. En fait, c'est plus des soirées où on écoute que des soirées où on fait la teuf en dansant. En ce qui me concerne, vu que j'ai autant les deux (danser et écouter), je me sens toujours pris entre deux feux...

Et bô nanné à tous z'et toutes !

(bon, en drÖnésie, on ne se congratule pas au jour de l'an, en pricipe et en vertu de décrets présidictatoriaux très sévères, mais pour cette fois je fais une exception !

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drÖne
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LLB
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Message par LLB »

Juste un mot encore, j'ai découvert le post de Primus après avoir envoyé le mien. Il dit qu'il n'y avait pas trop de sourires. Je suis sensible à cette remarque parce que je trouve qu'on a pas forcément le sentiment d'une sociabilité chaleureuse ou souriante, quand on est extérieur, sauf avec ceux avec qui on partage déjà quelque chose, qu'on est contents de voir ou d'écouter. On a l'impression que le partage est à un niveau qui est autre que celui de la sociabilité spontanée, arrêtez-moi si je dis des bêtises, j'aimerais avoir votre avis.
Je ne suis pas habituée à ce type d'ambiances, je le redis. Je me suis intéressée à cette musique parce que Dröne! et maintenant j'écoute très souvent. Mais aussi, j'admire très franchement Neurocircus, qui a une portée qui dépasse le milieu musical et culturel que vous partagez, il y a quelque chose de très fort dans cette solidarité collective, désintéressée, créative (même si je ne peux pas suivre les initiatives, par exemple la Chicken 1). Mais pour moi ce n'est pas encore évident d'apprécier spontanément une soirée comme à Nts St Georges, s'il n'y a pas en arrière plan un intérêt pour Neurocircus avant l'intérêt pour la fête. Je suis habituée dans ma famille espagnole à la fête, la Fête, où le but de l'affaire est précisément de se "lâcher" socialement, et là, tout le monde rit continuellement, et parle fort, et on ne peut pas s'empêcher d'être pris dedans complètement, je pense que culturellement, ce genre d'ambiance est appris et transmis depuis l'antiquité!
Mais ça ne me paraît pas du tout être l'enjeu des soirées comme celle du 31, qui renvoient pour moi à la volonté de presque s'opposer à cette manière "traditionnelle" de faire la fête pour la sociabilité pure et simple, la fête gros doigt. Peut-être parce qu'il y a une volonté de rupture par rapport à un ensemble de pratiques sociales héritées, volonté qui implique qu'on ne se laisse pas seulement porter par des cadres et des habitudes héritées ou données, mais qu'on participe sérieusement à la création et à la construction. C'est pourquoi c'est intimidant : parce que c'est lié à un univers de spécialité qui exige une implication (là encore j'ai besoin de votre avis, ça renvoie au syndrome du "cave" dont parle Becker à quand il évoque le monde des musiciens jazzman noirs). Tout simplement par exemple, je trouve assez difficile de parler ou de rentrer en contact avec les autres avec des niveaux sonores intenses, à moins d'avoir des codes pour ça, d'avoir presque acquis physiquement l'aisance pour se mouvoir dans ces conditions si particulières. J'étais un peu fascinée par la présence à la soirée de trois hommes un peu âgés qui étaient complètement biturés, ils ne dansaient pas, ils buvaient et ils interagissaient un peu avec les gens présents, je trouvais émouvants qu'ils soient là. Tout ça pour dire que j'ai trouvé super la soirée, mais c'est parce que j'ai un intérêt pour Neurocircus d'abord, et je fais donc je l'avoue un certain effort : je ne vais pas inventer pour faire joli et facile un goût naturel pour un type de sociabilité qui est justement à l'opposé de la fête telle que je la pratique par ailleurs. Et donc pour moi, cette soirée, c'était avant tout écouter Drône et Jack, rencontrer Raf et les siens, écouter les autres musiciens et apprécier, danser aussi, j'adore. Mais j'avoue que je n'étais pas envie de discuter avec les autres qui étaient là par exemple, même si j'ai trouvé remarquable l'effort des organisateurs (avec qui du coup j'avais quand même envie d'échanger un peu). Je dis tout ça en hommage à la soirée et en hommage à tout ce qu'on peut discuter ici, vous l'avez bien compris, et certainement pas pour critiquer quoi que ce soit.
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Message par LLB »

Ah maintenant je découvre le post de Dröne. Je réagis juste encore un pti coup pour dire que même si j'ai pris bien des précautions pour parler en tant qu'externe, je ne suis pas trop d'accord avec l'histoire d'une sociabilité rendue plus fraîche et innocente par le fait que la musique sépare les gens. Comme je disais plus haut, je pense que le mode de sociabilité n'est pas du tout "frais et innocent", parce qu'il s'exerce dans un milieu très particulier, très trié. C'est l'inverse pour moi : je sens constamment que ce n'est pas du tout un rapport à l'autre innocent et spontané qui s'y exerce, mais que ça exige la reconnaissance d'une forte sélection préalable qui rend possible que l'échange le plus anodin dans le bruit très fort soit bien lesté socialement, et bien vécu. Tu vois, c'est comme quand on parle du goût esthétique spontané : pour qu'il soit ressenti comme tel, il faut que ça se passe dans un milieu social où on crée les conditions de cette sensation de spontanéité alors que le quidam qui est mis en face d'une oeuvre est quant à lui soudain renvoyé à son absence de capacité spontanée à ressentir. C'est peut-être un peu pareil pour les sociabilités
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Message par drÖne »

En fait, quand je disais "innocent", qui n'est pas le bon mot, c'était pour essayer de décrire le fait qu'on est tout de même plongé, lors des discussions, dans une situation peu habituelle, même quand on a l'habitude de ce type de niveau sonore et de musique. Je peux me tromper, mais il me semble qu'on ne peut pas vraiment s'habituer à hurler contre 1,5KW de sono pour dirscuter avec un voisin à quelques centimètres de soi. Donc, on est toujours plus ou moins obligé de surmonter un truc pas franchement naturel, et qui est bien évidemment une situation socialement construite.

Sinon, par rapport au fait de s'intéresser à la musique avant tout pour les gens, j'ai été dans ce cas également avec le free-jazz, à une époque où je prenais des cours avec un batteur de free. Je ne connaissais rien à ce type de musique, mais j'allais l'écouter en répet puis en concert, et c'est parce que je savais quel était l'état d'esprit des musiciens et le sens de leur démarche que je m'intéressais à leur musique. Sinon, spontannément, le jazz ne m'intéressait pas et je n'y suis venu que par la fréquentation de ce prof de batterie. Mais le milieu des caves jazz, et ses codes de socialité, me paraissaient étranger à une époque où j'écoutais surtout du punk... ça faisait un sacré décallage !

Comme les genres musicaux n'existent, à mon avis, qu'à travers les communautés qui articulent des publics précis à des dispositifs, à des esthétiques et à des valeurs spécifiques (je ne crois pas à une définition du "genre" musical de type musicologique, exclusivement formelle), on ne peut que se sentir en profond décallage quand on vient d'un autre univers de référence. Et ça arrive très vite, pas seulement entre des genres très éloignés come le seraient le classique et la techno. Au sein même de l'ensemble du domaine des musiques électroniques, il existe peu d'homogénéité formelle, socioculturelle (les codes de sociabilité), ou au plan des dispositifs scéniques. Comme dirait l'autre, "la musique n'est pas un langage universel", loin de là ! Et on peut s'en réjouir !

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Message par drÖne »

Hello !

Je vois ce que tu veux dire. C'est vrai que comme j'étais arrivé tôt dans l'après-midi, j'ai eu la possibilité de tchatcher avec les gens qui participaient à l'organisation et avec les zicos, et du coup j'ai eu une vision plus positive des relations humaines par la suite. Mais j'ai souvent ressenti, en soirée electronica, ce que tu décris : l'impression d'un public qui adopte une attitude "intello", attitude qui consiste à très peu danser (le corps qui bouge, pas bien ça !) et à ne jamais sourire. En même temps, c'est dans ce type de soirée que j'écoute des musiques souvent plus exigeantes qu'en soirée tek. Et pour corser le tout, il y a 15 ou 20 ans, je devais être encore plus sombre et renfermé que tous les gens réunis lors de cette soirée : j'ai vachement donné dans ce trip morbide et intériorisé, avant de me décider à accepter l'idée d'être vivant ! Donc, pour toutes ces raisons, je ne peux pas franchement être objectif, mais je comprends ton énervement.

Je suis cependant parfaitement d'accord avec l'idée qu'aujourd'hui, ce qui importe dans une soirée, c'est d'arriver à mélanger non pas tout avec n'importe quoi (le Lion déteste, comme moi, l'idée du mélange pour le mélange), mais de confronter des profil socio-culturels et générationnels différents. L'idée de la Chicken party, c'est ça, fondamentalement. C'est pas tant le mélange d'ailleurs, que le contraste. Le mélange, ça revient à tout confondre, alors que le contraste permet de situer les identités et les différences. Je crois qu'on a tous besoin de trouver des espaces où on se confronte, dans le sens positif de l'idée de confrontation (pas la baston, mais la reconnaissance mutuelle des différences qui crée l'intérêt pour l'autre). Et du coup, je te rejoins dans ton constat : les soirées electronica ou indus, comme les soirées tek, ne jouent pas ce rôle car elles sont mono-thématiques et "mono-sociologiques".

Mais c'est pas facile d'arriver à organiser des soirées à contrastes, on l'a bien vu. Je trouve même qu'Anne et Amo, qui organisaient la soirée du 31, sont allés dans ce sens en nous intégrant à la programmation (je leur avait bien dit qu'on venait de la tek, et que nos potes aussi). Mais quand un public important est là avec ses habitudes "mono-thématiques", il se crée toujours autre chose que ce que les organisateurs espèrent, et on revient souvent dans les rails qu'on suit habituellement : les free-parteux de la chicken 1 ont crié "féééépééétééé", et les goths/indus de la Break-in 04 sont restés assis à flipper dans leur coin.

Bref, je ne connais pas la recette miracle de la soirée à contrastes, ou du mélange idéal, mais au moins on sait dans quelle direction on veut tous aller, ici, sur Room 101 et dans les soirées qu'on organise. A mon avis, on ne réussira pas toujours à tenir cette direction, car c'est compliqué, mais on peut optimiser les possibilités d'y arriver. En tout cas, c'est une idée qui m'intéresse bien !

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patman
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Message par patman »

elo elo me too me too,
soirée electronik break à la caza, tu sais raf la ou on a été lote fois voir l'excellentissime massilia sound systm, bah pareillle po mal d'égo dans toot sa, le summum c mon skattage avec les artistes, en hot rafy , tu vois...

bah c moi ke vla,

- mais ta po le droit toi !!!
Oolllla
- bah si je me l'autorise :o), c con hein...

nan po c moi ke vla, je me faisais chié à un moment et bon trankill je suis monté, et pas à 4 pattes alors après ya l'art et la manière comme on dit, à vrai dire je voulais juste me fumé un chtit pète comme dab et lié connaissance non pas trop avec les artistes (po trop tirlipinpom...), bon naif un peu ou j'essaye de l'être mais scroumpff on est d'accord, veux po déranger, mais avec leur entourage...
D'ailleurs je crois que cela a contribué à vouloir être moi même un peu "artiste" pluto ke désosseur, il ya cakes années et ainsi avoir moi aussi un alibi à ma connerie...

Sauf ke bah assez comme dab ya besoin ke d'un con pour te déchirer une ambiance et la prise de tête du dessus c'est détourné de moi (la capter ke je commencais à le regarder toot bizarre *Je n'ai d'autre alternative que de m'effondrer sur le sol, pris d'un rire hystérique*) pour allez embrouiller avec une violence verbale de malade un couple assis un peu plus loin, normal...etc... :o))
Enfin voila koi à par sa, tchatchage avec toot le monde, mais bon tristouille kan m^m.
Avant de se trainer à la caza, on a été au foyer des jeunes travailleurs de la rochelle, il faisait un petit pot avec les djeuns, au début c'était tendu mais l'alcool a détendu toot le monde ou l'habitude pour dotes, moi c l'alcool...Ben moi j'ai trouvé cela génial, grosse marade...

Tiens au fait gardez moi une touti place en tant ke vj...(ouaip mini place becoze c po terrosse terrosse, et mon soft j'ai pas encore la licence alors toot les 10 mn ya un touti bando rappelant c ke c'est coume log et une adresse internet, de plus je ne peux po sovegarder mon plan de travail alors sa sera bah du live, ou du moins pas toot à fait... coume j'aurais une banque de données de préparer mais fodra ke je mette le bazar en route.)

Bon k'est ce ki nous fait encore...

heu en fête, moi j'ai envie (après on peux voir ensemble ce ke vous en pensez)ke vous me laissiez m'amuser dans mon coin avec un ou deux postes de télé ke j'emmène, & bon allez je prète ozi, sur demande polie et respectueuse ;)
Pourkoi ? bah je tiens po à être frustré la dessus, y me fot du temps ! Na, ke j'ai envie de faire un set dont la base de données sera exclusivement de dedans la cuisine par exemple et bon je veux pas infliger sa à mes poulets.

happy new year everybody :mouse:

++


ps: cak'un à un convertisseur usb en prise midi à me préter, voir un mini table de mix sur place ? c pour essayer...
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drÖne
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Message par drÖne »

Good initiative pat ! Je suis tout à fait d'avis de te laisser t'exprimer comme VJ sur TV cassées, avec joie même ! Mais poursuivons plutôt cette discussion en privée, dans une branche que tu ouvriras dans la partie que tu sais du forum. Restons discrets !

+A+
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