La recherche terroriste d’extrême gauche en voie d’être épurée en France.
D’excellentes nouvelles nous parviennent de nos lointains voisins, les français. Depuis des semaines, en effet, la France défile aux cris de “Les chercheurs en prison, le savoir on n’en veut pas !“. Exaspérés par les groupuscules anarcho-marxistes qui ont, depuis plus de 50 ans, pris le pouvoir en Sorbonne et à Paris Dauphine et qui transforment les amphithéâtres universitaires en camps d’entrainement terroristes où se fomentent complots, attentats terroristes et coups d’Etats, la population française avait fini par descendre dans la rue pour faire entendre la voix de la vraie France, la France des valeurs vraies, celle qui se réclamme de Pierre Poujade, du Maréchal et du Kaiser NiKo.

Quelques groupuscules marxistes armés, retranchés dans leurs pseudo-sociétés savantes, au CNU (Comsomol National Universitaire), à l’Académie des Sciences marxistes et au siège du QSF (Qualité du Soviet Français) résistent encore à leur éradication, mais le mouvement de la droite nationale des vraies valeurs françaises impulsé par le front LRU (Ligue pour la Réaction Universitaire) ne tardera plus à vaincre ce quarteron de récalcitrants. Comme en Drönésie Orientale, la science française pourra alors être réservée à une élite économique appartenant au parti unique, et les chercheurs se mettront enfin au service de l’armée et de la police au lieu de perdre leur temps et l’argent précieux des actionnaires contribuables dans des recherches aussi inutiles qu’incompréhensibles par la puissance publique. Gageons qu’un tel redressement moral de la science française permettra à nos deux nations d’envisager de nouvelles coopérations dans un contexte idéologique enfin épuré !