Toujours amateur mais du stylo cette fois.

[psytok]

Conte de mon cuit.

Il l'aimait comme personne, mais il ne se sont pas compris.
Les derniers mois il la titillait, l'affrontait de plein fouet
pour la faire parler. Elle a adopté le silence, sur ca fuite
dans les bras d'un accrocheur de nez. Il ne s'en remet pas,
perdu dans des litres de bourbon et des centaines de pilon.
Il boit, s'enfume a tout vas ressassant les images
aujourd'hui frelatées.

Son sourire d'enfant, les nuits passées
a transpirer sur l'oreiller, les chants et danses enivrantes
de l'amour naissant, trop vite parti. Il ne lui en veut même pas
c'est comme ça qu'eux deux ont vécus leurs passion, pour ne
laisser dans le destin passé qu'un haut le cœur de bonheur.
Il boit, s'enfume a tout vas ressassant les images
aujourd'hui frelatées.

Comment croire a nouveau, retrouver
l'euphorie égarée en Normandie du coté de Montcuit.
Il boit, s'enfume a tout vas ressassant les images
aujourd'hui frelatées.

Ce n'est pas la bonne technique il le sait,
mais indéniablement il continue a tomber. Il s'inspire de son métier,
il arrose pour de ne pas dessécher, et une fois noyé espère
replanté les beaux jours arrivés. Sous les rayons de la bonne étoile alors,
il se retrouvera, et pourra a nouveau savourer une nouvelle moitié.
Sombre propos de cet homme marié, qui rêvait d'une passion infinie
pour un fruit à la peau exquise, et au sourire éphémère, expliqué ces maux
lui permettant de reprendre pieds, en crachant sa nausée,
plutôt que de s'enfermer dans sa bouteille a moitié tilté.

[psytok]

Le charme avant que j'entre en toi.



Oui le charme pourquoi pas!
Mais l'amour non j'en veux pas!
Si tu veux que j'entre en toi,
Vas-y charme moi, délarme-moi.
Je charme ton toi, alors pourquoi pas.

Laisse toi faire, c'est ce que je préfère,
errer autour de toi.
Rechercher tous tes mystères, bander toutes tes misères.
En amour, c'est déjà fait.
Passion est ma raison, d'être tendu.
Si je t'aime, je ne te convient plus,
Si je t'aime, le G marque la fin du début.
Mourir dans tes bras, pourquoi pas,
Cependant se sera dans la foi d'un rêve,
C'est comme ça que je nous voit, amoureux en devenir.

Mon plaisir est peu tactile, je ne croit pas mon esprit fertile.
Un regard de toi me rend fou de joie, sans voix.
C'est bon je t'aime, je t'aime bien plus que je n'y croit.
Pourtant je t'aime, je t'aime, bien autant que l'autre las bas.
Laisse moi, laisse moi, mais surtout ne part pas.
Touche moi, oui touche moi, dans le cœur pour la sueur.

Puis un soir dans une lumière noir, je me lâche, je ne tient plus.
Devient fougueux et langoureux, amoureux, embrassant complètement,
je chauffe, je prend feux et me consume!
Caresse en allégresse, en ivresse, je caresse tes fesses.
Mes lèvres contre les tiennes, je ralentie avant la folie.
Je monte, je monte, et entre en mer agitée,
je tombe, je tombe, en trombe je saute en l'air.
Sans soucis je me durcis, donnant mon bout de vie pour ton plaisir.
Plus rien a foutre de tout, je continue, ne m'arrête plus jusqu'au bout
de tes seins en fin pointues.

Dernier vers en retour sur terre, on ne s'entendra surement pas,
mais en aveux je te dit ça,
je ne t'aimais pas encore, retrouvons cet accord.

[psytok]

Allé ça faisait longtemps, le dernier qui peut encore bouger,hésitez pas a
donner votre avis.



Titre astro logique:

Singe vierge en ville,
ne tient pas tout le temps.




Sans vouloir vous imposer.
J'aimerai savoir vous parler.
Pensez, riez!
Surtout ne vous laissez pas balader,
faites le vous même.

La jungle urbaine demande du recul.
Recul, recul et la comment veux tu,
comment veux tu que je reste crédule.
Expérience de l'age ou insouciance de naissance,
on te freine, on t'effraie, on te guide dans l'arène
vers le mauvais, pour la guilde aux gros buildings.
Joker remplaçant je me con sidéré, errant parmi les gens
écoutant tel un pansement leurs tourments
pour leur rappeler a quel point,
On est bien, on est bien vivant dans cette foret de pierre.

La jungle urbaine, les lions te cloitre dans leur bulle,
je préfère rester a l'orée, le regard vers les champs.
Me balader de temps en temps,
Humer la douce senteur de l'herbe coupé des travailleur,
ou écrasée sous les pieds de nous danseur.
Qui chauffez par nos grosse étoile, qui sortent du mur
des grosse balles, pour nous faire vibrer
du cœur aux pieds. Écoutez, écoutez, sentez, sentez!
Comme on est bien , on est bien vivant loin de cette foret de pierre.

La tringle ou se pend ma haine et mon amour
est accroché entre la liane du béton et le barbelé des prés.
Avec tout le monde, et sans équipe.
Ou peut être celle de l'amitié et ces dérivés,
l'art , des lascar, taulard, zonard, costard,
malabar et petit bras. Pas de choix mais la raison
Raison de soi et des siens.
Protection allié à soumission.
De la chaleur pour tout les cœurs,
Comme vous en donnez au mien.
Et la enfin je serai bien , bien vivant dans cette foret de pierre,
Qui m'exaspère et me fait rester sur terre.

[psytok]

Pas trés happy mais c'est la vie....
et puis un autre.



Conte du mâle bourré

Il l'aimait comme personne, mais il ne se sont pas compris.
Les derniers mois il la titillait, l'affrontait de plein fouet
pour la faire parler. Elle a adopté le silence, puis la fuite
dans les bras d'un accrocheur de nez. Il ne s'en remet pas,
perdu dans des litres de bourbon et des centaines de pilon.
Il boit, s'enfume a tout va ressassant les images
aujourd'hui frelatées.

Son sourire d'enfant, les nuits passées
a transpirer sur l'oreiller, les chants et danses enivrantes
de l'amour naissant, trop vite parti. Il ne lui en veut même pas
c'est comme ça qu'eux deux ont vécus leurs passion, pour ne
laisser dans le destin passé qu'un haut le cœur de bonheur.
Il boit, s'enfume a tout va ressassant les images
aujourd'hui frelatées.

Comment croire a nouveau, retrouver
l'euphorie égarée en Normandie du coté de Montcuit.
Il boit, s'enfume a tout va ressassant les images
aujourd'hui frelatées.

Ce n'est pas la bonne technique il le sait,
mais indéniablement il continue a tomber. Il s'inspire de son métier,
il arrose pour de ne pas dessécher, et une fois noyé espère
replanté les beaux jours arrivés. Sous les rayons de la bonne étoile alors,
il se retrouveras, et pourra a nouveau savourer une nouvelle moitié.
Sombre propos de ce mâle marié, qui rêvait d'une passion infinie
pour un fruit à la peau exquise, et au sourire éphémère.
Expliquer ces maux lui permet de reprendre pieds, en crachant sa nausée,
plutôt que de s'enfermer dans sa bouteille a moitié tilté.

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Dilemme


De retour d'Ardèche,
l'utopie me repêche.
Je reprend espoir en l'impossible,
l'unité de la bonne pensée.
Mais cette unité serait elle sensible
a la pensée de chaque unité.
Rien n'est moins sur.
Les moutons font unités,
nous on essaye de ce distinguer.
En clair il faut que t'assure!
Cependant être unique es être devant?
Ou bien plus unique est le donnant donnant?
J'avoue tanguer entre l'un et l'autre
sans m'en soucier, a mon regret.
Ces mots tel une schizophrénie,
montre ce qui parfois m'envahit,
les soirs ou mon chemin dévie.