Il fait chaud et on va tous crever

Ici on discute de thèmes environnementaux : écologie scientifique et/ou écologie politique, décroissance, etc.

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Por Jean Luis Arce

LIMA (Reuters) - El Quelccaya, el glaciar tropical más grande del mundo, ubicado en Perú, presenta un retroceso de 60 metros anuales lo que implica su mayor disminución en 5.000 años, según estudios científicos de la Universidad de Ohio que culpan del deshielo al calentamiento global.

Los glaciares tropicales se ubican en las zonas más altas del cinturón que rodea al globo terráqueo, que abarca desde la altura de la zona central de México hasta el extremo norte de Argentina (los trópicos de Cáncer y Capricornio), y que es conocida como zona tórrida o tropical.

Dichos glaciares son las mayores reservas de agua dulce congelada en la tierra después de los polos.

Según el geólogo especializado en glaciares Lonney Thompson, quien estudia este fenómeno en Perú desde 1974, el deshielo afectará seriamente el suministro de agua para un 70 por ciento de la población del país andino, además del clima en esta región de Sudamérica.

"Este casquete glaciar no ha sido más pequeño que ahora por 5.000 años y eso nos puede dar una perspectiva del cambio que estamos observando," dijo Thompson en una conferencia con la prensa extranjera.

Thompson, premiado con la Medalla Nacional de Ciencia del 2007 en Estados Unidos y asesor en la realización del polémico documental "An Inconvenient Truth" de Al Gore, afirmó que según sus análisis, el glaciar aumentó su ritmo de deshielo 10 veces en los últimos 15 años.

"En los primeros 15 años de mediciones el glaciar retrocedía a seis metros por año, pero en los últimos 15, está sobre los 60 metros anuales, 10 veces más rápido," agregó.

El Quelccaya, ubicado en la región andina de Cusco, en el sureste de Perú, es un tipo de glaciar inusual pues su masa de hielo no se ubica alrededor de alguno de los picos de la cordillera, sino sobre un terreno plano, precisó Thompson.

AGUA EN PELIGRO

Perú concentra en sus cimas andinas un 70 por ciento de los glaciares tropicales de todo el planeta, que incluyen también a la cordillera de los Himalaya en Asia y el volcán Kilimanjaro en Africa, regiones que también están siendo afectadas por el calentamiento global, afirmó el científico.

Según Thompson, en los próximos 10 años, Perú enfrentaría una crisis debido al proceso de desaparición de los glaciares que abastecen de agua a la mayoría de la población que vive en la desértica costa del Pacífico, y consume un 80 por ciento de energía generada por hidroelétricas.

"Si ves la mayoría de la población de Perú está en el oeste, la parte más seca del país, aquí en Lima tienes 8 millones de habitantes (...) hay mucha agua en el este pero no tienes mucha gente y la pregunta que surge es ¿cómo balanceas esto en ausencia de los glaciares?," alertó Thompson.

Para el científico, el problema peruano con el calentamiento global es común para un 70 por ciento de los 6.500 millones de habitantes de la tierra que viven entre los trópicos y que enfrentan fenómenos, como el incremento del nivel del mar, por los deshielos en los polos.

"Nuestro mundo está conectado, tenemos una economía global ya no existimos más como naciones individuales estamos todos unidos a los otros y por eso si algo va mal en China, en Perú o en Africa, todos seremos impactados por estos cambios," acotó.

Para Thompson, el cambio climático es el más grande reto global en el siglo XXI.

"Una vez que estemos en la misma página como seres humanos, afrontaremos este problema porque no tenemos otra opción y si trabajamos juntos podremos cumplir esta misión," concluyó.
En gros, pour ceux qui ne lisent pas l'espagnol, ça dit "il fait chaud, et on va tous crever, surtout au Pérou". Le plus gros glacier du Pérou perd 60 m par an, ce qui représente sa diminution la plus importante depuis 5000 ans. Les glaciers tropicaux sont la plus grande réserve d'eau douce de la planète, et le Pérou concentre 70% des glaciers tropicaux de la planète. Lonney Thompson, géologue spédialiste des glaciers, est donc très inquiet. Le problème spécifique du Pérou, c'estque la majeure partie de sa population est à l'ouest, là où les glaciers fondent, alors que l'est, riche en eau, est peu peuplé. La question que Lonney Thompson se pose est alors : comment cela va-t-il entrer en balance avec la disparition des glaciers ?

Bref, tout ça c'est encore des délires d'écologistes : GW Bush a dit que ça allait, et Jacques Attali et son pote Claude Alègre pensent que la science règlera tout et que la décroissance c'est des trucs de gauchistes attardés. Dormons bien, braves gens.
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La banquise arctique a connu un nouveau record de fonte

Message par drÖne »

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 ... 716,0.html
La banquise arctique a connu un nouveau record de fonte au cours de l'été
LE MONDE | 18.09.07 | 16h33 • Mis à jour le 18.09.07 | 16h33

La fonte estivale de la banquise arctique s'accélère. Son extension a atteint un niveau historiquement bas ces derniers jours. Par rapport au précédent record, qui remonte à 2005, l'été 2007 aura vu la superficie des glaces de mer diminuer de l'équivalent de deux fois la surface de la France : au 9 septembre, elles ne couvraient que 4,24 millions de km2, contre 5,32 millions de km2 il y a deux ans, selon le Centre américain de données sur la neige et la glace (NSIDC). L'Agence spatiale européenne (ESA) fait le même constat à partir des images du satellite Envisat. "La réduction de la banquise était de 100 000 km2 en moyenne chaque année, commente Leif Toudal Pedersen, du Centre spatial danois. Si bien que la perte d'un million de km2 représente une chute extrême."

"Battre des records est presque devenu une habitude, note Jean-Claude Gascard, directeur de recherche au Laboratoire d'océanographie et du climat et responsable du programme européen Damocles. A ce rythme, la banquise estivale pourrait avoir disparu en 2020." Soit beaucoup plus tôt que ne le prévoient les modèles climatiques, qui tablent plutôt sur des eaux libres en été au pôle Nord vers 2050.

Actuellement embarqué sur le brise-glace russe Fedorov, Jean-Claude Gascard peut littéralement toucher du doigt le phénomène : pendant plusieurs jours, le bâtiment a cherché en vain une plaque de glace suffisamment consistante pour accueillir une base dérivante comptant 25 personnes et 300 tonnes de matériel. Les scientifiques russes vont devoir se replier sur un îlot au large de l'archipel de Severnaya Zemlia, ce qui amputera le programme de recherche. "Il n'est pas impossible que nous aboutissions au constat que seules des expéditions en bateau dérivant sont désormais praticables en Arctique", constate le chercheur.

A quoi tient cette fonte accélérée ? Jean-Claude Gascard avance deux explications : des étés plus chauds, liés au réchauffement climatique et marqués par une couverture nuageuse basse, "qui accroît l'effet de serre plutôt qu'elle ne réfléchit le rayonnement solaire". Mais aussi "une accélération fantastique de la dérive transpolaire des glaces de mer". Le voilier Tara, prisonnier volontaire de la banquise pour l'étudier, a connu un déplacement deux fois plus rapide que prévu.

Cette dérive conduit à l'évacuation des glaces de l'océan Arctique par le détroit de Fram, entre le Groenland et l'archipel du Spitzberg. Les vents en sont le principal moteur. Leur régime semble subir une modification liée à un changement de distribution des champs de haute et basse pressions en Arctique. Cette année, "les vents dominants ont apporté du sud de l'air chaud, notamment sur les côtes de Sibérie orientale", souligne Sheldon Drobot, de l'université du Colorado. Spécialisée dans la prévision de l'évolution de la banquise, son équipe a été surprise par sa dislocation accrue en juillet. "Nos images satellites montrent aussi une perte de la glace ancienne, ce qui pourrait correspondre à un amincissement de la banquise", poursuit-il.

Les indices des satellites sont corroborés par les observations in situ. Le brise-glace allemand Polarstern, qui a parcouru l'océan Arctique pendant tout l'été, a constaté que l'épaisseur moyenne de la banquise était d'environ un mètre, soit une diminution de moitié depuis 2001. Alors qu'il se trouvait à 150 km du pôle Nord, le navire océanographique a connu une journée entière de pluie.

Hervé Le Goff, ingénieur de recherche (CNRS) qui vient de partir hiverner sur Tara pour le programme Damocles, raconte que le voilier, à 400 km du pôle, a été baigné par des pluies intermittentes "tout le mois d'août. Il y a vingt ans, il ne pleuvait pas dans ces coins-là".

Ces transformations radicales de l'océan Arctique, qui aboutiront à l'ouverture estivale de nouvelles routes maritimes - le passage du Nord-Ouest et bientôt celui du Nord-Est -, ont déjà des conséquences sur la faune. Les 25 000 ours blancs, privés de banquise qui constitue leur territoire de chasse, pourraient voir le nombre réduit de plus des deux tiers d'ici à 2050, selon une étude américaine de l'US Geological Survey.

"Je pense cependant que les principaux impacts de la diminution de la banquise seront sociaux, estime Sheldon Drobot. Des indices montrent que cela va modifier le régime des pluies en Europe de l'Ouest, ce qui pourrait avoir une influence majeure sur l'agriculture, la viticulture et d'autres activités économiques."
Hervé Morin
Article paru dans l'édition du 19.09.07.
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Message par drÖne »

raph a écrit :MOI J AI DECIDE DE ROULER SANS PHARE LA NUIT J ECONOMISE 2 L AU CENT
CA DOIT PASSER PAR CHACUN LA PRISE DE CONSCIENCE :twisted: :twisted: :twisted:
Oui, mais comme tu roules bourré, tu les reconsommes tes deux litres !

:twisted: :twisted: :twisted:
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Le réchauffement redessine la carte des risques d'épidémies

Message par drÖne »

De plus en plus fun ce topic :

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 ... 361,0.html
Le réchauffement redessine la carte des risques d'épidémies animales
LE MONDE | 21.09.07 |

L'apparition ou le développement de certaines maladies animales en Europe sont-ils liés au réchauffement climatique ? Pour Barbara Dufour, spécialiste en maladies contagieuses et en épidémiologie à l'Ecole nationale vétérinaire de Maisons-Alfort (Val-de-Marne), la réponse ne fait aucun doute. Elle est positive.
"Les maladies vectorielles sont les plus directement et visiblement influencées par le réchauffement", précise-t-elle. L'augmentation des températures favorise en effet la remontée des virus et des vecteurs qui les transportent vers les latitudes les plus élevées.


L'enseignante-chercheuse évoque l'exemple de la fièvre catarrhale ovine, ou maladie de la langue bleue : "En 2002-2003, il y en avait seulement en Corse. Puis on a vu apparaître quelques rares Culicoides imicola (l'un des moucherons vecteurs du virus) dans le sud de la France. Aujourd'hui, on en retrouve beaucoup : ils se sont implantés. C'est un signe de modification du biotope."

En 2004 et 2005, Barbara Dufour a participé à l'élaboration d'un rapport de l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) consacré à "l'évaluation du risque d'apparition et de développement de maladies animales".

Les experts, tout en soulignant qu'il était "illusoire", en l'état des connaissances, "de prévoir avec précision quelles répercussions auront les modifications du climat", ont retenu cinq maladies pour lesquelles la probabilité d'une évolution liée au changement climatique était "modérée à élevée".

Il s'agit de la fièvre catarrhale ovine, de la fièvre du Nil, des leptospiroses et de deux maladies touchant essentiellement le chien : les dirofilarioses et la leishmaniose viscérale.

DÉFICIT DE CONNAISSANCES

Parmi ces cinq affections, deux pourraient avoir sur la santé humaine des conséquences "faibles à modérées" : la fièvre du Nil, qui a fait environ 200 morts aux Etats-Unis en 2003, et la leptospirose, une maladie bactérienne qui se transmet par contact avec l'eau.

Une d'entre elles, la fièvre catarrhale ovine, aurait des conséquences "modérées" sur la santé animale et, partant, des conséquences économiques "modérées à élevées". Pour tenter de contrôler d'éventuelles épizooties, le rapport de l'Afssa recommande le développement d'un réseau d'alerte et de surveillance, ainsi que la mise au point de vaccins adaptés et de plans de vaccination.

Mais Barbara Dufour pointe le déficit actuel de connaissances scientifiques. "Dans les années 1970, on s'est dit que les maladies infectieuses, c'était fini. Des spécialités comme l'entomologie médicale ont été progressivement sinistrées, faute de moyens humains et matériels, note-t-elle. Mais, depuis vingt ans, ces maladies sont revenues en force, et nous nous retrouvons trop souvent démunis devant des questions de fond."

Gilles van Kote

Article paru dans l'édition du 22.09.07.
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pH
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un point positif qd même, comme les pauvres vont tous crever dabord on vivra dans un monde de riches avant de clamser à notre tour :twisted:
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Message par drÖne »

A moins que les pauvres, plutôt que de crever de chaud chez eux à cause des riches, ne viennent nous envahir avec leurs ceintures d'explosifs.
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Pauvres et en sueur en plus ! C'est dégueu !
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l'impact du tourisme sur le climat devrait doubler

Message par drÖne »

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 ... 716,0.html
Sans mesures immédiates, l'impact du tourisme sur le climat devrait doubler d'ici à trente ans

LEMONDE.FR avec AFP | 01.10.07 |


Les agences de l'ONU pour le tourisme, l'environnement et le climat, réunies pour trois jours à Davos, dans le cadre d'une rencontre internationale, ont fait part, lundi 1er octobre, de leurs craintes concernant la relation entre le tourisme mondial et le changement climatique.

L'impact du tourisme sur le changement climatique pourrait en effet plus que doubler dans les trente prochaines années, selon un rapport des agences publié à l'occasion de la réunion. Selon l'Organisation mondiale du tourisme (OMT), d'environ 842 millions de voyages dans le monde l'an dernier, on devrait atteindre 1,5 milliard en 2020. Or, les transports, le logement et les autres activités touristiques comptent pour environ 4 à 6 % du total des émissions de gaz à effet de serre, souligne le rapport onusien.


Le secrétaire général de l'Organisation mondiale du tourisme, Francesco Frangialli, a appelé le secteur et les autorités à prendre des mesures immédiates, même si les effets du tourisme sur l'environnement sont moins importants que ceux de beaucoup d'autres domaines industriels. "Les Alpes suisses ont souffert cet hiver du manque de neige et ce n'est pas par hasard", a-t-il noté.

ZONES CÔTIÈRES ET MONTAGNEUSES AFFECTÉES

Le tourisme mondial doit faire sa révolution, a averti l'ensemble des organisations, soulignant le fait que la croissance continue du secteur pourrait conduire à une augmentation de 150 % de ses émissions de gaz dans les trente prochaines années.

Les comportements en matière de tourisme pourraient évoluer : les destinations côtières ou montagneuses, particulièrement dans des pays pauvres ou sur des îles, pourraient être les plus affectées par les changements climatiques et la hausse du niveau des mers, a indiqué le rapport. A l'inverse, les zones tempérées devraient recevoir davantage de touristes.

La rencontre de Davos doit permettre de préparer l'ordre du jour d'une réunion ministérielle de l'ONU sur le tourisme et le climat prévue à Londres en novembre.
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120 db
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Message par 120 db »

Je viens de lire un article d'un climatologue
*
“L’écologie, c’est souvent du néocolonialisme”

Couche d’ozone, réchauffement… A chaque fois, le Nord impose ses diktats, juge Luiz Carlos Molion. Pour ce météorologue brésilien, notre planète se refroidirait plutôt.


c'est fort interressant et tres pertinent !!
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Message par drÖne »

120 db a écrit :Je viens de lire un article d'un climatologue
*
“L’écologie, c’est souvent du néocolonialisme”

Couche d’ozone, réchauffement… A chaque fois, le Nord impose ses diktats, juge Luiz Carlos Molion. Pour ce météorologue brésilien, notre planète se refroidirait plutôt.


c'est fort interressant et tres pertinent !!
Il est sans doute l'un des seuls climatologues à penser cela ! Aujourd'hui, il y a tout de même une relative unanimité des scientifiques pour dire qu'il est urgent d'agir contre le réchauffement. Je ne vois vraiment aucun "néocolonialisme" à la nécessité de sauver la peau de l'espèce et à protéger l'ensemble de la planète d'une destruction probable. D'autant que le manque d'eau frappera sans doute plus durement les pays du Sud.
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