avant toute chose, merci à éric perier d'avoir invité konsstrukt à venir montrer son cul à la société de curiosité. je comptais tartiner des lignes et des lignes sur la qualité de l'accueil, des échanges intellectuels, de l'éthylisme, du public, etc., mais je vais me borner à une image qui résume tout. dans leurs chiottes, ce qu'on trouve, c'est un poster de parmeggiani. et tout est dit. et allez-y.
sinon :
pour son numéro 2, l'angoisse cherche des textes, du son, des images qui bougent, qui ne bougent pas, un mélange de tout ça, des trucs qui n'ont rien à voir.
pas de contrainte de taille, de poids, de thème.
quelques directives, quand même :
- le gore, l'horreur, la pornographie, sont bienvenus
- le lyrisme, le surréalisme, la nostalgie consciente ou non des avant-gardes de nos grands-parents ne sont pas les bienvenus
- la noirceur, le minimalisme, la sécheresse, l'observation lucide, etc.
une courte définition de l'angoisse, telle que je l'entends :
angoisse : silence de dieu. moment où l’homme se sent totalement seul, abandonné et livré à lui-même, dans le silence de ses appels demeurés sans réponse. à rapprocher de la perte de la mère et de l’accession à l’âge adulte. il faut franchir ce point d’angoisse, soit en tombant dans l’idolatrie, soit en renouant le dialogue avec dieu.
évidemment, dieu n'est ici qu'un terme vide, qui désigne tout point de référence abstrait et absolu. cette définition est remâchée et recrachée d'un livre qui s'appelle histoire du mal, et dont bernard sichère est l'auteur. je le recommande à ceux qui veulent bosser pour cette revue.
faites vos propositions à konsstrukt@hotmail.com
deadline pour le numéro 2 : 10 février.
merci d'avance.
collaborez à l'angoisse !
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