Rhâââ ! Lovely ! J'ai enfin pu écouter cet album !Duck Feeling a écrit :Et bien voici donc notre nouvel album !
Il s'intitule Rhythms Of Concrete et est constitué de trois triptyques conçus comme des hymnes à la danse mécanique et au dandysme futuriste. Comme d'habitude, le disque et son artwork sont téléchargeables gratuitement sur notre site Internet !
Télécharger Rhythms Of Concrete
Miroir #1
Miroir #2
Vous pouvez l'écouter en streaming via Soundcloud également ! Et n'hésitez pas à donner votre avis, je me ferais une joie d'y répondre.
Merci beaucoup,
Duck.
Voilà enfin de la pop libre ! Une utilisation créative du langage musical du psychédélisme des 60's aux 70's (en particulier les progressions harmoniques) coexiste avec une réelle capacité à créer des chansons - ce que j'ai toujours considéré comme un atout majeur, même si (ou parce que) je suis incapable de le faire - tout en complexifiant les compositions et les textures dans une visée d'expression, et non pas pour faire dans le zarbi à tout prix (comme c'est trop souvent le cas dans le monde de l'electro). Il y a aussi un petit côté "comptine triste" qui me rappelle certains albums des Residents, ou, plus précisément, de Snakefinger. Le chant ne se contente pas d'être là, plaqué sur les instruments, mais il participe de l'élaboration et de la cohésion d'ensemble. Donc, bravo, et j'ai hâte d'écouter ça en live !
Mais du coup, je ne vois pas du tout le lien avec l'esthétique industrielle de l'artwork qui, à mon avis, brouille les pistes et ne rend pas justice à l'originalité de la musique : on s'attend à de l'indus 80's, et on tombe sur des perles prog/rock/pop-psyché, ce qui relève à mon sens d'une esthétique assez antinomique de celle des usines à gaz de l'indus 80's et de la litanie un peu nauséeuse du bondage.
En tout cas, bien content que The Snobs soit présents ici, on en est très flattés !
J'en profite pour diviser ce sujet (non, je ne suis pas un lacanien...) afin de le mettre plus en avant dans la rubrique des écoutes (il était auparavant planqué dans les chroniques et sans sujet spécifique).