Le 24 décembre au plus tard, les autorités sanitaires françaises vont demander aux 53,06 % de citoyens français porteurs d’implants cérébraux de type BIPP (Brain Implants Political Protheses) de se les faire enlever.
Ces prothèses défectueuses sont en effet suspectées d’avoir causé la réflexion d’au moins une personne et le doute critique chez des milliers d’autres. D’où cette décision, unique dans l’histoire du totalitarisme, de demander le retrait de ces implants cérébraux, comme le confirment la présidence de l’Institut Nationaliste du Cerveau et le directeur général de l’Union pour un Monde Parfait, la coalition d’extrême droite actuellement au pouvoir en France.
Demander le retrait des prothèses pose un certain nombre de problèmes, à la fois médicaux, administratifs et financiers. «En même temps, il n’y a pas urgence, il ne faut pas inquiéter, mais c’est le principe de prévention qui doit s’imposer», déclare le professeur Ulrich Von Umpfn, chef du service de chirurgie réparatrice de l’hôpital Henri Mondor à Créteil. « En effet – poursuit-il – nos services contrôlent encore l’activité politique des greffés, et nous sommes donc certains du résultat des prochaines élections. Dans le pire des cas, nos accords avec les médias nationaux nous permettraient de passer ce cap délicat en ayant recours aux techniques de propagande traditionnelles « .
La Présidictature de Drönésie orientale se félicite de la réactivité des autorités de la Dictature Française amie, et les assure de son soutien logistique et militaire en cas de besoin.