Soirée d’information et de débat sur la musique libre
Soirée d’information et de débat sur la musique libre

Soirée d’information et de débat sur la musique libre

L’association Libre Culture Lyon vous invite le 22 décembre 2013 à 20h à la MJC du Vieux Lyon (place St Jean, en face de la cathédrale), pour une soirée d’information et de débat sur la musique libre.

Pour cette conférence, nous avons invité quelques musiciens et beaucoup d’informaticiens, majoritairement de sexe masculin.

Voici le programme

  • Information générale sur la Licence Art libre: la vrai révolution culturelle du siècle. (20h30-22h15)
  • Pourquoi la licence Creative commons n’est pas une licence libre mais une licence de libre diffusion. (22h15-0h30)
  • Je fais de la musique libre donc je suis un artiste. (0h30 – 2h15)
  • La paroisse et le fouillis (libre réinterprétation de la cathédrale et du bazar ) (2h15 – …).

Informations

Site Web: http://www.dogmatic.net

Contact: contact@dogmatic.net

8 commentaires

  1. Pierro

    En tant que qu’individu neutre ayant assisté de loin à l’une de ces soirée, je tiens à préciser qu’il n’est absolument pas indispensable d’y connaitre quoi que ce soit en musique libre pour réussir à s’y ennuyer profondément (plusieurs avis convergent dans ce sens). C’est donc là une aubaine pour les néophytes qui n’oseraient pas encore se lancer dans de véritables challenges du spleen… Continuez, ce site est une bouffée d’oxygène… rance évidemment…

  2. Hey salut tout le monde.

    Et oui pas facile de parler de tout cela.
    Multiples publics du plus néophyte au plus expert.

    Je suis le premier désolé de cet ennui ; la deuxième session fut plus probante. La troisième …bof.

    Il faut qu’on trouve un canevas; « une facon de ».
    Le but de tout cela n’est pas tellement de parler des licences libres mais de partage et de travail collaboratif dans l’art.
    Avec le message que « télécharger de la musique libre n’est pas forcément illégal ».

    Étant président de l’asso, j’accepte l’avis de pierrot tel que.
    Cela nous incite à faire mieux voilà tout.

    D’ailleurs, si vous avez des idées pour améliorer cela, you’re wellcome ; ou si vos convictions vous incitent à entrer en action rejoignez nous et faites don de vos compétences en la matière !

    bien a vous
    didier guillon cottard

  3. Salut Didier et bonjour également !

    Je réponds tardivement, car j’étais au Pérou durant un mois : pas facile de me connecter là-bas, surtout en période de tremblement de terre…

    Pour ce qui est des licences et du libre, j’ai cru à ça à une époque, comme un moyen de changer les pratiques. Mais en pratique, je n’ai rien vu changer (je veux dire les comportements des acteurs culturels, des musiciens, des clubs ou des patrons de bars, etc.). C’est pour cela que je me suis détaché de cet univers du libre : si les pratiques ne changent pas, à quoi bon ? Si le copinage reste le seul critère de sélection, si les légitimités plus ou moins bien acquises ne se modifient pas, si tout ce qui fait la musique n’évolue pas PRATIQUEMENT sous l’effet des licences libres, alors j’avoue que l’ennui me guette, moi aussi… Mais bon, que ça ne t’empêche pas d’y chercher ta voie surtout !

    +A+

  4. eisse

    Tu as du rentré du pérou.
    Je rerombe ur ce post. J’ai eu écho via notre mexicain de bituur de ce détachement. Effectivement les populations ne changent pas et je sais déjà que le même phénomène que les radios libres dans les années 80 arrivera ; quand on pense que scoop etait l’une de celles là !

    J’ai bcp appris notamment en ingurgitant des mois le code de la propriété intellectuel ; les gens ont l’habitude chaque fois de se mettre sous un étendard (factice) comme les « licences libres ».

    Je considère aujourd’hui que les licences libres ne sont qu’un outil juridique proposé mais que nous parlons depuis tout le temps de gestion individuelle des droits d’auteurs ; C’est notamment ce point de vu que certains ont du mal a saisir…d’ou l’ennui.

    Le gestion individuelle est un mode a part entiere du CPI comme l’est celui du colectif ; c’est 50-50 ;
    Aussi , dogmazic a décidé de changer de lexical et de parler de licences ouvertes.

    Je ne cherche pas de voix ; j’ai un metier et suis musicien avec delgarma ca me va bien.

    Derriere ces difficiles explications sur le droit d’auteur il y a surtout un super moyen d’etre acteur et meneur de son potentiel artistique.

    Pourquoi a t il toujours fallu que l’artiste soit subordonné a son label ou la société de gestion ; l’artyiste n’est pas celui qui donne la matiere.
    Pourquoi faut il toujours que l’industrie la ramène dans les off des festivals alors qui ne sont que de simples intermédiaires mais surement pas le centre du débat ou de la synergie.
    Comme les licences…de simples outils.

    Alors voilà ce qu’on peut voir derriere ces notions difficile a diggérer et a expliquer ; une certaine facon de voir les choses et de prendre la main sur ce que l’on crée.
    Et ca je crois pas que tu t’ai dévié de cela.

    Et encore une fois c’est toujours vexant de voir ce premier commentaire ; car c’est un peu facile…. la liberté à un prix et ca…sans parler musique…c’est une chose universelle.

  5. eisse

    erratum / 6eme paragraphe

    Pourquoi a t il toujours fallu que l’artiste soit subordonné a son label ou la société de gestion ; l’artiste n’est « IL » pas celui qui donne la matiere?

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